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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0124 | TE015262 | anon. | Collectio exemplorum cisterciensis [dir. Berlioz, Polo de Beaulieu, 2012] : [LXXXI], 68 [881a] | Gérard, un moine de Farfa puis de Clairvaux, témoignait d’une extraordinaire dévotion au Christ au point qu’un fleuve de larmes inondait son visage au moment de la consécration. | |
TC0148 | TE015382 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus, t. III, De dono scientie [Berlioz, 2006] : 990 | LES PLEURS DE SAINTE GENEVIÈVE. — Sainte Geneviève fuyait les consolations du monde pour les divines. Nombreux étaient ceux qui critiquaient le fait qu’elle ne se mêlât point au monde. Saint Germain qui lui rendit visite montra la terre de sa cellule toute trempée des larmes qu’elle répandait tous les jours, larmes qui témoignaient de la visite de l’Epoux mystique. | |
TC0148 | TE015368 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus, t. III, De dono scientie [Berlioz, 2006] : 976 | PAROLE DE SAINTE SYNCLÉTIQUE SUR LE FEU DIVIN. — Sainte Synclétique dit qu’au commencement il y a une lutte et ensuite une joie ineffable. Comme ceux qui veulent allumer un feu et pleurent, et par ce moyen obtiennent ce qu’ils veulent, ainsi faut-il allumer le feu divin avec des larmes et des peines. | |
TC0148 | TE015383 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus, t. III, De dono scientie [Berlioz, 2006] : 991 | LES PLEURS DE SAINT AUGUSTIN. — Saint Augustin pleurait à chaudes larmes en entendant les hymnes et les cantiques. | |
TC0148 | TE015381 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus, t. III, De dono scientie [Berlioz, 2006] : 989 | LES PLEURS DE SAINT AUGUSTIN. — Quand il pleurait, Augustin ne pouvait se rassasier de la douceur de ce miracle et y voyait la grandeur du dessein divin. Un grand élan de piété le soulevait, les larmes ruisselaient sur ses joues, mais elles lui faisaient du bien. | |
TC0148 | TE015357 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus, t. III, De dono scientie [Berlioz, 2006] : 965 | UN PÉCHÉ MIS PAR ÉCRIT EST EFFACÉ. — A Saint-Victor de Paris, un étudiant venu se confesser ne le put, empêché qu’il était par la honte et la douleur. Son confesseur lui conseilla d’écrire son péché. Ce qu’il fit. Une seconde fois, il ne put se confesser mais pleura. Ouvrant le feuillet, le confesseur le trouva complètement effacé en signe de rémission totale de ses péchés. | |
TC0148 | TE015380 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus, t. III, De dono scientie [Berlioz, 2006] : 988 | PLEURS DE MADELEINE, THAÏS, L’EGYPTIENNE; SAINT PIERRE ET LE CHANT DU COQ. — Saint Pierre, entendant le chant du coq à l’heure où il avait renié le Christ, était contraint de pleurer. | |
TC0148 | TE015352 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus, t. III, De dono scientie [Berlioz, 2006] : 960 | Le cerf, acculé par les chiens, pleure. | |
TC0148 | TE015379 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus, t. III, De dono scientie [Berlioz, 2006] : 987 | LES LUNATIQUES PASSENT VITE DU RIRE AUX LARMES. | |
TC0148 | TE015325 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus, t. III, De dono scientie [Berlioz, 2006] : 933 | SOULAGEMENT APRÈS L’AVEU DES PÉCHÉS. — Etienne de Bourbon a vu des hommes qui disaient qu’après s’être confessés et avoir reçu une pénitence, ils se sentaient soulagés d’un poids semblable à celui d’une grande tour. | |
TC0148 | TE015360 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus, t. III, De dono scientie [Berlioz, 2006] : 968 | LA COMPONCTION DU FRÈRE ANTOINE. — Dans le monastère de Grégoire le Grand un frère nommé Antoine aspirait au paradis par des pleurs quotidiens. Lors d’une vision qu’il eut une nuit, il lui fut dit de se préparer car le Christ lui ordonnait de partir. Disant qu’il n’avait pas de quoi voyager, il reçut cette réponse: ?S’il s’agit de tes péchés, ils te sont remis. — Encore tout tremblant, il reçut, la nuit suivante, le même avertissement. Après cinq jours durant lesquels il brûla de fièvre, il mourut dans les pleurs et les prières de tous les frères. | |
TC0148 | TE015375 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus, t. III, De dono scientie [Berlioz, 2006] : 983 | L’OUTRE MIRACULEUSEMENT REMPLIE. — Un grand pécheur se confessa à un saint homme sans que ce dernier pût l’amener à accomplir une pénitence en accord avec la gravité de ses péchés. Il lui demanda finalement de trouver une source dont l’eau surgirait et de rapporter pleine de cette eau l’outre qu’il lui donnerait. Le pécheur, ravi par cette pénitence, chercha pendant un an. Ne la trouvant pas il s’en revint et, devant les acerbes reproches dont l’accabla le saint homme, se mit à pleurer amèrement. Une larme tomba par le goulot de l’outre qui se remplit sur le champ. Ce que voyant, l’ermite déclara qu’il était en possession de ce qu’il avait si longtemps cherché: c?était la source qui montait vers Dieu et faisait monter vers lui ceux qui pleuraient. | |
TC0148 | TE015361 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus, t. III, De dono scientie [Berlioz, 2006] : 969 | LA CONVERSION DE SAINT AUGUSTIN. — La mère de saint Augustin pleurait tous les jours sur la perdition de son fils. Saint Ambroise lui dit que le fils de tant de larmes ne saurait être un fils perdu. Un jour, après avoir longuement pleuré sur son fils, elle se vit assise sur une barre d’or. A un jeune homme qui lui demanda la cause de ses pleurs, elle répondit qu’elle pleurait sur son fils. Il lui dit que son fils serait à l’endroit même où elle se trouvait. Augustin, encore manichéen, avait entendu un sermon de saint Ambroise. Il s’allongea sous un arbre et pleura. Pris de repentir, d’hérétique il devint saint. | |
TC0148 | TE015377 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus, t. III, De dono scientie [Berlioz, 2006] : 985 | UNE FILLE INCESTUEUSE TUE SES PARENTS. — Un homme eut de son épouse une fille d’une grande beauté. Poussé par le diable, il l’aima d’un amour interdit et la souilla. La mère, avertie de cet empressement par des signes évidents, découvrit l’affaire. La stupeur et la honte l’empêchèrent de l’ébruiter. La fille, subodorant la chose connue de sa mère, l’empoisonna sur les conseils d’une vieille femme. Son père découvrit le crime et se sépara de sa fille. Elle l’empoisonna à son tour. Devant leur mort, elle resta longtemps désespérée jusqu’à ce qu’elle entendit dire par un prédicateur de la croix que tous les péchés qui pouvaient être commis n’étaient rien si on les comparait à la miséricorde de Dieu. Elle s’en vint le trouver mais sa douleur ne lui permit pas de se confesser. Elle y parvint cependant. Après l’avoir quitté, elle alla dans une église en compagnie d’une servante. Elle se prosterna, en prière, laissant cours au flot de ses larmes qui la suffoquèrent. On la trouva morte. Celui qui avait entendu sa confession demanda dans son sermon de prier pour elle quand il entendit une voix qui disait qu’il valait mieux qu’elle priât pour lui. Baptisée de nouveau dans le flot de ses larmes, elle avait rejoint la patrie céleste échappant à toutes les peines du purgatoire. |
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TC0148 | TE015372 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus, t. III, De dono scientie [Berlioz, 2006] : 980 | LA PÉNITENCE DE SAINT GÉNÉBALD. — Un homme nommé Génébald s’était séparé de son épouse et vivait de façon très dévote. Saint Remi l’ordonna évêque de Laon. Il permit à sa femme de venir chez lui. En proie à la tentation, il pécha avec elle et engendra un fils. Il demanda à son épouse de l’appeler Larron car sa naissance avait entraîné la perte de ses biens spirituels. Après une longue pénitence, il permit à sa femme de lui rendre visite, et engendra une fille qu’il ordonna d’appeler Renarde. Il fit venir saint Remi et voulut se confesser à lui, sans y parvenir, étouffé par ses larmes. Le saint le réconforta et il réussit enfin à se confesser. Génébald voulut lui rendre son étole sacerdotale. Devant son insistance, saint Remi l’enferma. Sept ans plus tard, la nuit de la Cène, comme il pleurait et ne cessait de penser que lui qui avait l’habitude d’apporter la réconciliation aux pénitents en était privé, un ange lui apparut et lui annonça que son péché était remis et qu’il devait aller réconcilier les pénitents. Il répondit qu’il ne pouvait sortir car c?était saint Remi qui possédait la clé de la porte qu’il avait scellée de son sceau. L’ange lui ouvrit la porte sans rompre le sceau. Génébald se coucha alors devant la porte, les bras en croix, et dit que quand bien même le Christ viendrait, il ne sortirait pas sans la permission de celui qui l’avait enfermé. L’ange apparut aussitôt à saint Remi lui demandant de venir d’urgence à Laon pour rétablir dans sa dignité première Génébald. Ce qu’il fit. Génébald persévéra dans sa sainteté et eut pour successeur son fils Larron qui fut aussi saint. |
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TC0148 | TE015371 | Stephanus de Borbone | Tractatus de diversis materiis praedicabilibus, t. III, De dono scientie [Berlioz, 2006] : 979 | LES PLEURS COMMUNICATIFS DE SAINT AMBROISE. — Ambroise pleurait tellement lorsque quelqu’un lui avouait ses péchés, que le pécheur était obligé de pleurer. | |
TC0159 | TE017563 | Petrus Lemovicensis | De oculo morali | Platon avait légué un terrain à l’Académie sur lequel se produisaient régulièrement des séismes. Platon s’en expliqua en disant que les étudiants, terrifiés par les tremblements de terre, contempleraient la mort et refreineraient leurs vices. |
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