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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0138 | TE019172 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 117 | Échec d'un baptême hérétique par un évêque d'Arles. | |
TC0139 | TE016405 | anon. | Sefer Hamaassiyot [Gaster, 1924] : exemple 219 p.144 du texte hébreu | Une femme demanda à Rabbi Eliezer d’interpréter son rêve. Il lui prédit qu’elle aurait bientôt un fils, ce qui se réalisa. A une autre occasion où Rabbi Eliezer était absent, ses disciples donnèrent une interprétation erronée d’un rêve, et elle se réalisa. | |
TC0142 | TE018979 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : IX, 56 | Un chanoine de Saint-André de Cologne nommé Pierre assista une fois à la communion de son confrère malade. Le prêtre administrant le Sacrement demanda au malade s'il croyait que Jésus était bien présent dans l'hostie, et le malade répondit que oui. Pierre, lui aussi prêtre, prit peur à ces mots. Il croyait notamment à la présence symbolique du Christ dans les espèces consacrées, et non pas à la présence réelle. Pierre consulta l’écolâtre de Saint-André et celui-ci confirma la vérité du dogme de la transsubstantiation. Plein de repentir pour son erreur, Pierre fit construire une chapelle avec un hôpital dédié à Marie-Madeleine. |
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TC0142 | TE017856 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : I, 27 | Un médecin détrompe le landgrave Ludwig convaincu de l’inanité des bonnes actions face à la prédestination. « Seigneur, dit-il, si vous croyez que votre vie peut être prolongée par la vertu de la médecine, pourquoi refusez-vous de croire cela au sujet de la pénitence et des œuvres de justice qui sont la médecine de l’âme ? » Le landgrave promet de se convertir mais ne tient pas parole. | |
TC0155 | TE016271 | Johannes Maior | Magnum Speculum Exemplorum (en russe) : 147 | Le landgrave Louis de Turinge tombe dans une erreur touchant la prédestination. « Si je suis prédestiné au salut, dit-il, aucun péché ne m'empêchera d’entrer dans le royaume de Dieu ». Un jour, affligé par une maladie, il appelle son médecin. Celui-ci, étant un homme sage et pieux, lui demande pourquoi il croit qu’un traitement médical peut guérir son corps, mais refuse de prendre un remède pour son âme : c'est-à-dire faire pénitence et pratiquer l’abstinence. Le landgrave admet son erreur. | |
TC0155 | TE016383 | Johannes Maior | Magnum Speculum Exemplorum (en russe) : 260 | Le roi Robert de Rome tombe malade. Croyant que l’extrême-onction entraîne la mort, il refuse l’administration du sacrement. Cependant il se laisse persuader de l’accepter et guérit bientôt. | |
TC0158 | TE016706 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 256 | L'homme qui disait que le roi se laissait aller à la cruauté.– Un roi fait enlever cent onces de chair à un homme qu'il croit à tort avoir blâmé sa cruauté; ayant reconnu son erreur, il lui rend mille onces de chair. | |
TC0158 | TE017035 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 493 | Conversion du frère cadet du roi Açoka.– Après avoir constaté que les ascètes eux-mêmes sont encore accessibles au désir sexuel, le frère cadet du roi Açoka tient en suspicion les çramanas qui ne pratiquent pas les austérités. Pour lui faire comprendre son erreur, Açoka le condamne à être mis à mort au bout de sept jours; pendant ces sept jours il met à sa disposition toutes les jouissances sensuelles, mais le prince n'y prend aucun plaisir; c'est de la même manière que les çramanas, ayant sans cesse présents devant les yeux les tourments des existences futures, ne prêtent aucune attention aux plaisirs de l'existence présente. Convaincu par cette expérience, le frère cadet du roi Açoka devient çramana. |
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TC0158 | TE017022 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 480 | La servante laide qui croit voir son image dans l'eau.– Une servante laide croit voir son image en apercevant dans l'eau le reflet d'une belle femme pendue; elle prétend agir comme si elle était belle; elle est confuse quand on lui montre son erreur. |
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TC0158 | TE016749 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 299 | Le comédien déguisé en démon.– Dans le royaume de Gandhâra, une bande de comédiens voulant échapper à une disette, traversaient la montagne Balasena infestée de raksas, dévoreurs d'hommes. Ils allumèrent un feu et s'endormirent. L'un deux, souffrant du froid, revêtit le costume de raksa qu'il portait sur la scène; ses compagnons s'étant réveillés, s'enfuirent effrayés; pour les rejoindre, leur camarade leur courut après et tous se précipitèrent dans un ravin où, blessés, ils reconnurent enfin leur méprise. |
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TC0158 | TE016781 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 330 | L'amant imbécile.– Un homme avait des rapports adultères avec la femme d'un autre. Le mari se posta hors de la porte afin de le tuer. La femme s'en étant aperçu, dit à son amant : «Il n'y a que le mo-ni par lequel vous pourriez sortir.» Elle voulait engager cet homme à s'échapper par l'aqueduc, mais il crut qu'elle parlait des perles mo-ni (mani) et, n'en trouvant pas, il demeura et fut tué par le mari. |
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TC0158 | TE016782 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 331 | Les deux pigeons.– Le pigeon mâle tue sa femelle sous le prétexte qu'elle a mangé la moitié des fruits conservés dans le nid. En réalité les fruits n'ont fait que diminuer de volume à cause de la sécheresse. |
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TC0158 | TE016768 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 317 | Celui qui fut mordu par un ours.– Un père et son fils marchent de compagnie. Le fils, devançant son père, pénètre dans une forêt où il est blessé par un ours. Son père qui le voit revenir ainsi maltraité, pénètre dans la forêt et se dispose à tuer un ascète, parce que son fils lui a dépeint son agresseur comme étant «une sorte d'animal dont les poils sont touffus et longs». Le fils rectifie à temps l'erreur du père. | |
TC0158 | TE017003 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 461 | L'homme qui a acheté la sagesse.– Pour mille onces d'or, un homme a acheté la sagesse qui consiste dans le conseil de ne pas agir avec précipitation; quand il rentre chez lui, il croit voir un étranger couché avec sa femme et veut le tuer, mais, après un examen plus attentif, il s'aperçoit que la personne qu'il aurait mise à mort s'il s'était laissé aller à son premier mouvement n'est autre que sa propre mère. |
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TC0161 | TE017748 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : XXX, 11 | COMMENT UN HOMME D'UNE NATURE QUI N’EST POINT VULGAIRE AYANT QUITTÉ SON ÉPOUSE REVIENT ENSUITE HABITER AVEC ELLE.– Un homme quitte son épouse attristée pour vivre avec une autre femme. Au cours d’un voyage, il fait envoyer à sa nouvelle épouse pour se distraire, une palourde et une algue qu’il a trouvées au bord d’un rivage. Mais le petit serviteur chargé de cette tâche, se trompe de maison, et apporte les objets à la première femme qui comprend que c’est une méprise. Mais elle fait mettre le coquillage et l’algue dans de l’eau pour qu’on puisse se divertir en les regardant. Quand l’homme regagne la maison de son épouse d’à présent, il lui demande si les objets sont toujours là. Celle-ci dit que si jamais elle les avait vus, elle aurait fait griller le coquillage pour le manger, ainsi que l’algue qu’elle aurait fait mariner. L’homme apprend qu’ils ont été portés à l’épouse d’avant et, furieux, demande au petit serviteur de lui rapporter les objets. L’épouse d’avant les emballe délicatement, en écrivant quelques vers avec de jolis jeux de mots. L’homme, touché par tant d’élégance et de délicatesse, quitte la maison de l’épouse d’à présent, et s’en retourne vivre avec celle d’avant. | |
TC0162 | TE017792 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. Lavigne-Kurihara, 2002] : XXIV, 13 | COMMENT SHIGEOKA NO KAWAHITO EST POURSUIVI PAR LE DIEU DE LA TERRE.– Après la mort de l’Empereur, le grand conseiller part avec Shigeoka no Kawahito, maître du Yin et du Yang qui est chargé de trouver un emplacement pour sa tombe. Sur le chemin du retour, Kawahito se confie au grand conseiller et lui avoue avoir commis ce jour même une grave erreur. Il ajoute que le dieu de la terre les poursuit et, secoué de frissons, se cache avec le conseiller épouvanté par cette annonce. La nuit venue, ils chassent leurs montures et avancent dans une rizière. Le devin fait asseoir le grand conseiller et le recouvre de gerbes de riz, et récite des prières à voix basse en tournant autour de lui. Puis Kawahito commence à parler à son compagnon qui se sent déjà à moitié mort. Peu de temps après, ils entendent des pas de millions d’hommes, des cris, et une voix qui n’a rien d’humain clamer avec fureur de fouiller la terre et de trouver les deux hommes. Cette voix ajoute que, même si Kawahito est un grand maître du Yin et du Yang, aussi fort que les grands maîtres de jadis, il ne lui échappera pas. Mais ils repartent bredouilles et, avant de disparaître, un homme qui semble être le maître de la bande déclare qu’ils reviendront et les chercheront de part le monde entier, le dernier jour de l’année, à minuit. Devant l’inquiétude du grand conseiller, Kawahito le rassure et lui dit qu’il lui parlera de son plan le moment venu. Le dernier jour de l’année arrive, et Kawahito va chez le grand conseiller et lui demande de le rejoindre à la nuit tombante à un carrefour d’avenues. Tous deux se rendent alors au temple de Saga, grimpent sous les combles, et Kawahito murmure des incantations magiques pendant que le conseiller récite les trois enseignements secrets. Soudain, vers minuit, un vent chaud souffle une odeur répugnante, accompagné d’un grondement terrible. Les deux hommes épouvantés attendent jusqu’au chant du coq, et rentrent chez eux. Kawahito dit au grand conseiller qu’il n’y a plus rien à craindre, et qu’ils ont pu être sauvés grâce à son propre talent. |
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TC0165 | TE018442 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : CPS-H 5, p. 307 | Un vieil homme de Clairvaux est ravi en extase alors qu'il priait. Le Christ lui apparaît pour lui annoncer la rémission de ses péchés. Lorsqu'il reprend ses esprits après la vision, il rend grâce à Dieu, car il était plongé dans l'angoisse à cause de ses propres erreurs. |
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This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
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