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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: vente | sale | Verkauf | venta | vendita
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0138 | TE020138 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 478A | Le mendiant qui a revendue l'habit reçu était le Christ. | |
TC0138 | TE019592 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 467 | Une épousé détourne son mari de la tempérance imposée en pénitence. | |
TC0138 | TE019839 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 697 | Ruse d'un marchand de chevaux. | |
TC0138 | TE019280 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 255 | Un naufragé abuse de la compassion d'un frère. | |
TC0138 | TE020203 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 893A | Un roi donne en aumône une coupe qui est aussitôt vendu à un courtisan. Ceci ne décourage pas la générosité du roi qui déclare: « Si j'avais donné deux coupes il en serait revenu deux. » | |
TC0138 | TE019264 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 209 | Un saint homme vend son âne, cause de distraction dans la prière. |
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TC0138 | TE020035 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 894 | Générosité d'un roi malgré l'avis de ses barons. | |
TC0142 | TE019035 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : XI, 46 | En Saxe mourut un avocat. Sa bouche s’ouvrit et on s’aperçut qu’il n’avait plus de langue. Apparemment, il l’avait trop vendue quand il vivait. | |
TC0142 | TE019043 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : XI, 54 | Un citoyen de Münster nommé Bernard dissipa son héritage dans des débauches et des beuveries. Il vendit sa maison à son beau-frère, mais dépensa rapidement tout l'argent. Tombé dans la misère, il retourna chez son beau-frère qui le laissa loger chez lui. Peu après, Bernard devint de plus en plus agressif. Il revendiqua sa maison, mais le beau-frère refusa. N'ayant pu l'obtenir par des menaces ni devant la justice, Bernard tua le beau-frère et se réfugia dans la cathédrale. Il refusait d’abord de sortir, mais finalement se laissa persuader, séduit par la promesse d'un bon vin vendu dans telle taverne. Comme il l’avoua plus tard, le plancher de l’église lui brûlait les pieds. Il fut arrêté, jugé et roué en place publique, sans un mot de repentir. L'heure de sa mort approchant, il dit avoir vu une multitude de démons se rassembler autour de lui. |
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TC0142 | TE019101 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : XII, 40 | Un pèlerin vendit son habit pour acheter du vin et s’enivra au point qu’il semblait mort. Son esprit fut conduit au lieu des peines où il vit le prince des Ténèbres siégeant sur un puits. À ce moment, l’âme de l'abbé de Corvey arriva en enfer : le diable le salua, lui versa une coupe sulfureuse, puis le jeta dans le puits. Finalement, le diable réclama le pèlerin. Celui-ci, terrifié, promit au bon ange qui l’accompagnait que plus jamais il ne s’enivrerait, et il fut sauvé. |
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TC0142 | TE018621 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VI, 5, 13 | Ensfried, le doyen de la collégiale Saint-André de Cologne, sentit sa mort approcher et vendit sa maison au profit des pauvres, car il doutait des exécuteurs testamentaires et voulait lui-même contrôler la dépense de la somme obtenue. Quand l'acheteur, lui aussi chanoine de Saint-André nommé Conrad, dit qu'il voulait bien disposer de la maison, Ensfried répondit tout simplement : « Mon cher Conrad, où dois-je aller ? Il me reste si peu de temps à vivre, attendez un peu ! » Conrad lui permit de rester dans la maison vendue. | |
TC0142 | TE018622 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VI, 5, 14 | Ensfried, le doyen de la collégiale Saint-André de Cologne, achetait souvent aux pauvres des choses dont il n'avait pas besoin, juste pour les aider. Un jour, il vit un pauvre essayer de vendre – sans succès - des éventails et ordonna à René, l’écolâtre de Saint-André, de s'en acheter quelques-uns. René dit qu'il n'en avait pas besoin, mais Ensfried insista : « Offrez-les donc à vos amis ! » René qui connaissait la compassion d'Ensfried pour les pauvres, obéit. | |
TC0142 | TE018906 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VIII, 70 | Un mauvais prêtre vendit à un chevalier une fausse relique de saint Thomas de Cantorbéry. Cependant, pour l'honneur du saint et la foi du chevalier, Dieu fit plusieurs miracles à travers cette relique. |
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TC0155 | TE016304 | Johannes Maior | Magnum Speculum Exemplorum (en russe) : 182 | Un novice ne sait plus vendre les ânes du monastère car il refuse, selon le précepte de son abbé, de mentir. | |
TC0155 | TE016303 | Johannes Maior | Magnum Speculum Exemplorum (en russe) : 181 | Lors d’un violent incendie, une veuve pose ses barriques de cervoise contre le feu et prend Dieu à témoin qu’elle n’a jamais menti aux clients et lui demande de protéger ses biens. Le feu épargne miraculeusement sa maison. | |
TC0157 | TE017181 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 79, p. 399, l. 5 – p. 399, l. 24 | Dans l’Historia Tripartita, on lit qu’une famine éclata dans la province de Jérusalem. Le peuple attendit de Cyril, évêque de Jérusalem, qu’il leur fournisse de la nourriture dans la nécessité. Comme il n’avait pas d’argent, il vendit des objets sacrés. Il put ainsi nourrir la foule. l’Empereur Constance en fut fâché, d’autant plus qu’il savait qu’Acace, évêque de Césarée, en Palestine, complotait contre ledit Cyril. Acace prétendait, en effet, que Cyril avait vendu le vêtement liturgique offert par Constantin à Macaire, alors évêque de Jérusalem. C’était un vêtement de soie et d’or. Il fut acheté par un danseur de théâtre. Mais lorsque celui-ci le mit pour exécuter sa danse habituelle, il tomba mort. Acace força alors Cyril à démissionner. Pierre Damien a lui aussi perdu le vêtement épiscopal. Il s’attend donc, de même, à être démis. |
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TC0158 | TE016774 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 323 | Partage du butin entre des voleurs.– Une bande de voleurs a partagé son butin en parts égales. Il ne reste qu'un manteau de laine qui est remis au plus faible d'entre eux. Celui-ci se croit lésé, mais il vend le manteau à un prix considérable et gagne, à lui seul, deux fois plus que tous ses compagnons réunis. | |
TC0158 | TE017042 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 500 | Le sûtra du prince héritier Sudâna (Siu-ta-na).– Le roi Çibi possédait ving mille épouses, mais n'avait pas de fils. Lorsque enfin une de ses femmes eut un garçon, on le nomma Sudâna parce qu'à sa naissance le lait jaillit spontanément du sein des vingt mille épouses (sanscrit Sudhâna; vraisemblablement racine dhâ qui signifie «téter»). Dès son enfance, il se distingue par sa libéralité. Il épouse la fille d'un roi, Mâdrî, dont il a un fils et une fille. Voulant se conduire selon la pâramitâ de charité, il demande à son père toutes les richesses du trésor royal pour les offrir à son peuple. Son père les lui donne. Un roi rival demande l'éléphant blanc du roi. Le prince héritier l'accorde et encourt ainsi la colère de son père, qui l'exile dans la montagne T'an-t'o. Sa femme exige qu'il l'emmène avec leurs deux enfants. Ils partent au milieu des larmes du peuple. En route, il cède son cheval à un brahmane qui le lui demande et s'attelle lui-même à son char. II donne successivement ses vêtements, ceux de sa femme et de ses enfants à d'autres brahmanes. Après mille aventures ils arrivent dans la montagne où un religieux enseigne la Loi au prince héritier tandis que Mâdrî et les enfants cherchent leur nourriture dans les bois. Un brahmane vient un jour lui demander ses deux enfants; il les lui donne en l'absence de Mâdrî, qui, après avoir exprimé son désespoir, reconnaît qu'elle s'est engagée à ne s'opposer à aucun désir de son mari. Çakra, transformé en vieux brahmane qui a douze sortes de laideurs, vient demander au prince héritier de lui donner son épouse. Il y consent. Çakra reprend alors sa forme de roi des devas et promet au prince que ses enfants seront vendus dans son pays, qu'ils ne souffriront pas de privations et que lui et les siens reviendront dans le royaume d'où ils sont exilés. Les enfants sont vendus par le brahmane à leur grand-père et le vieux roi donne l'ordre d'aller chercher son fils, qui est reçu en grande pompe, et qui, après sa mort, devient le Buddha. |
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TC0158 | TE016756 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 306 | Celui qui goûtait les mangues.– Un notable donne de l'argent à un autre homme pour qu'il aille lui acheter des mangues. Il lui recommande de prendre les fruits doux et beaux. Pour s'assurer qu'ils le sont, le commissionnaire les goûte tous. Quand le notable les reçoit, il refuse de les manger et les fait jeter. | |
TC0158 | TE016584 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 143 | Une tête d'homme, mise en vente, ne trouve pas d'acheteur.– Un roi ordonne de mettre en vente au marché cent têtes d'animaux et une tête d'homme : seule la tête d'homme ne trouve pas d'acheteur. Le roi en tire la conclusion que toute tête d'homme n'a de valeur qu'en tant qu'elle peut servir à comprendre et à pratiquer la religion bouddhique. | |
TC0158 | TE016872 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 398 | Le cheval intelligent.– Un cheval intelligent, donné d'abord à un maître potier, est ensuite acheté par le roi Brahmadatta; ce cheval sauve le roi en traversant un étang sur des fleurs de lotus. | |
TC0158 | TE017013 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 471 | La jeune fille qui vendit ses cheveux pour offrir un repas au Buddha.– Une jeune fille qui a des cheveux admirables les vend pour cinq cents livres d'or afin de pouvoir offrir un repas au Buddha. Au moment où elle rend hommage au Buddha, ses cheveux repoussent instantanément. | |
TC0158 | TE016708 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 258 | Celui qui alla sur la mer pour chercher de l'aloès.– Un homme qui a recueilli de l'aloès dans un voyage sur mer ne parvient pas à vendre cette denrée; il le brûle pour en faire du charbon de bois parce qu'il a vu que le charbon se vendait aisément. | |
TC0165 | TE018379 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 126, pp. 235-236 | Dans la Geste de Charlemagne, se trouve le récit d'un miracle qui apporte un terrible exemple. À Bayonne, en Gascogne, au moment où Charlemagne s'apprête à entrer en Espagne, le chevalier Romaric mourant demande à un parent de vendre son cheval pour en faire profiter les pauvres. Le cheval est vendu pour une centaine de sous, mais le parent garde l'argent pour lui-même. Après trente jours, Romaric lui apparaît en rêve pour lui dire qu'il a passé trente jours dans un lieu douloureux à cause de lui. Il est à présent sur le point d'entrer au ciel, tandis que son parent, à cause de son sacrilège, entrera bientôt dans le même lieu de souffrance, mais pour l'éternité. Le lendemain, l'homme entend un bruit terrible et est emporté par les esprits. Il est retrouvé mort seulement quatre jours plus tard, et à quatre jours de marches de l'emplacement où il a disparu. |
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Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
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