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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: riz | rice | Reis | arroz | riso
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0158 | TE017019 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 477 | La femme qui accouche de quatre objets.– Des époux ayant demandé un fils à un dieu, la femme accouche d'un boisseau de riz, d'une jarre d'ambroisie, d'un sac de joyaux, d'un bâton qui frappe tout seul. Le dieu leur démontre que ces quatre objets leur rendront tous les services qu'ils attendaient d'un fils. | |
TC0158 | TE016921 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 405 | Le don offert au Buddha par les cinq frères.– Quatre frères, voyant que leur plus jeune frère a obtenu des avantages considérables (des moissons de céréales d'or) pour avoir donné un bol de riz au Buddha vont lui présenter leurs offrandes; chacun d'eux reçoit l'enseignement d'une phrase qui en elle-même n'a pas un sens complet; mais en rapprochant ces quatre phrases, ils obtiennent la stance qui résume la doctrine bouddhique sur les samskâras. |
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TC0158 | TE016758 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 308 | Celui dont on fendit la joue parce qu'il avait fourré du riz dans sa bouche.– Un homme remplit sa bouche de riz dérobé. Sa femme lui ayant adressé la parole, il ne voulait pas cracher le riz et ne parlait pas; elle, croyant qu'il avait un abcès dans la bouche, le dit à son père qui fit venir un médecin; celui-ci fendit la joue du pauvre homme et le riz s'en échappa. | |
TC0158 | TE016620 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 176 | L'hérétique qui fait avorter une femme.– Un hérétique s'étant trompé dans sa prédiction au sujet du sexe d'un enfant à naître, masse la femme pour la faire avorter et provoque ainsi sa mort; l'enfant naît cependant au moment où elle est placée sur un bûcher. Ce même hérétique prétend voir à une immense distance un singe tombant dans une rivière; mais il ne voit pas la bouillie placée sous le riz dans son bol. |
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TC0158 | TE016426 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 3 | Le Bodhisattva, les poissons et les courges pleines de riz. – Pour faire acte de libéralité, le Bodhisattva se jette dans la mer afin de nourrir les poissons. Plus tard, étant un grand poisson, il s'échoue sur le rivage afin de nourrir les hommes. Plus tard, étant prince héritier d'un royaume, ses vertus attirent cinq cents Buddhas qui sauvent le peuple de la famine en lui faisant semer des céréales qui se transforment en courges pleines de riz. | |
TC0158 | TE016657 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 210 | Le çrâmanera qui, en quêtant, doit obtenir dix boisseaux de riz.– Un çrâmanera doit obtenir, en quêtant, dix boisseaux de riz en un jour et alors son maître lui enseigne une gâthâ. La quête doit durer quatre-vingt-dix jours. Un bienfaiteur lui donne d'un coup les neuf cents boisseaux de riz qu'il aurait recueillis en quêtant; il peut alors se consacrer à l'étude des gâthâs et en apprend quatorze cents en trois mois. |
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TC0158 | TE016524 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 94 | Châtiment du çrâmanera (novice) qui s'est introduit subrepticement dans le palais d’un nâga.– Un çrâmanera, chargé de rapporter chaque jour le riz de son maître, tombe souvent et le riz est sali. Le maître fait des reproches au nâga qui provoque ces chutes et accepte l'invitation du nâga à aller manger dans le palais de ce dernier. Le çrâmanera, en s'accrochant subrepticement au pied du lit de son maître (cf. num. 207) s'introduit chez le nâga; il meurt et devient lui-même un nâga. | |
TC0158 | TE016725 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 275 | Celui qui vit la maison bien badigeonnée d'un autre homme.– Un homme badigeonne sa maison avec du mortier mêlé à du riz, croyant mieux faire en employant du riz plutôt que de la balle de riz. | |
TC0161 | TE017691 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : I, 31 | COMMENT LE NOTABLE SHUDATSU A CONSTRUIT LE MONASTÈRE DU GI-ON.– Le notable indien Shudatsu devient pauvre pour la septième fois de sa vie. Pour ne pas mourir de faim il vend un boisseau de bois et rapporte du riz que sa femme met à cuire. Des disciples du Bouddha viennent mendier leur nourriture. L’épouse offre son riz aux deux disciples, et prend la résolution de garder le riz restant pour elle et son époux, pour continuer à vivre .Le Bouddha Shaka se présente à son tour et l’épouse emplie de joie lui offre le riz qui reste. Au retour de son époux, grâce à la générosité de sa femme, les greniers de sa maison se remplissent miraculeusement de trésors. Shudatsu décide alors de fonder une demeure pour la Communauté des moines et d’y faire offrande chaque jour .Il couvre d’or la place d’un magnifique site cédé par un prince. Il installe le Bouddha, des Bodhisattva et les cinq cents disciples dans cette merveilleuse demeure appelée le monastère de Gi-on. |
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TC0161 | TE017716 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : XII, 31 | COMMENT, APRÈS QU'UN MOINE EST MORT, SA LANGUE DEMEURE ET SE TROUVANT DANS LA MONTAGNE Y RÉCITE LE LOTUS DE LA LOI.– Le Bodhisattva du Sud, renommé pour son enseignement, reçoit la visite d’un moine pourvu d’un pot à eau en cuivre blanc, d’une chaise à méditation, et d’un exemplaire du Sûtra du Lotus de la Loi qu’il ne cesse de réciter. Après un an passé près du Bodhisattva, le moine annonce son départ vers la montagne, donne sa chaise au Bodhisattva et part accompagné de deux laïcs. Le moine, ne gardant que son pot à eau et une corde offre le reste de ses biens aux deux laïcs avant de les renvoyer. Deux ans plus tard, des villageois venus dans la montagne pour construire des bateaux, entendent une voix qui récite sans cesse le Sûtra du Lotus de la Loi. Emplis de respect, ils décident de trouver l’homme qui récite pour lui faire offrande. Mais ils ne trouvent personne. Quand ils reviennent plus tard dans l’année pour tirer leurs bateaux, ils entendent toujours cette voix merveilleuse et en informent le Bodhisattva. Celui-ci se rend dans la montagne et trouve le cadavre d’un homme qui s’est suicidé en se jetant sur les rochers. Il comprend qu’il s’agit du moine quand il voit le pot à eau près du corps. Trois ans plus tard, le Bodhisattva retourne dans cette montagne et entend toujours la voix. Comme il regarde à l’intérieur du crâne du cadavre, il découvre que la langue, miraculeusement, n’a pas pourri. Le Bodhisattva éploré prie pour le moine et passe sa vie très pieusement en récitant le Sûtra du Lotus de la Loi. |
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TC0161 | TE017715 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : XII, 18 | COMMENT UN BOUDDHA DU YATA-DERA EN LA PROVINCE DE KAWACHI NE BRÛLE PAS AU FEU.– Une veuve veut faire peindre l’image du Bouddha Amida pour en faire offrande au monastère Yata-dera. Etant très pauvre, elle laisse passer le temps et n’accomplit pas son vœu. Mais un jour elle glane des épis de riz et appelle un peintre qui, ému par ce vœu, accepte de copier l’image, qui est installée dans le sanctuaire principal du monastère. Mais un voleur brûle ce sanctuaire. Dans le feu il ne reste que l’image peinte qui n’a subi aucun dommage. Grâce à l’esprit d’éveil de cette femme, et de sa foi, le bouddha a accompli ce miracle. |
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TC0163 | TE018089 | Kamo no Chomei | Hosshinshū (Récits de l'éveil du cœur) [tr. Pigeot, 2014] : 27. | UNE LUMIÈRE IRRADIE SUR LA TÊTE D’UN CONVERS AU SERVICE DU CONTRÔLEUR MONACAL DE L’IYO.– Un moine très pieux au service du contrôleur monacal de l’Iyo récite sans relâche l’invocation au Bouddha. Une nuit, le contrôleur monacal sort pour une affaire. Le moine marche devant la voiture, un flambeau à la main. C’est alors que le contrôleur voit, dans les reflets de ce feu une lumière irradier au-dessus de la tête du convers. Stupéfait devant un tel prodige, il fait porter le flambeau à un autre homme, mais le moine reste toujours illuminé. Plus tard, le contrôleur convoque le moine et le soustrait de son service, en lui demandant de se consacrer dorénavant uniquement à l’invocation. Et pour sa subsistance il lui cède une parcelle de rizière. Le moine répond qu’il est fort désappointé devant cette proposition car, pour lui, le servir ne nuit en rien à sa pratique de l’invocation. Le contrôleur lui détaille les raisons de sa décision, et le moine finit par accepter. Il partage la rizière entre ses deux fils qui le nourrissent et il bâtit un ermitage dans lequel il demeure jusqu’à sa mort, récitant l’invocation sans jamais se laisser distraire. Pour accomplir sa Renaissance on peut avoir un esprit borné et il n’est pas non plus nécessaire d’aller se perdre dans les montagnes au fond des forêts. |
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This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
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