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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: riz | rice | Reis | arroz | riso
3occurences in collectionoccurrences dans le recueilAuftritte in der Sammlungoccorrenze nella raccoltaocurrencias en la colecciónTC0161
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0161 | TE017691 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : I, 31 | COMMENT LE NOTABLE SHUDATSU A CONSTRUIT LE MONASTÈRE DU GI-ON.– Le notable indien Shudatsu devient pauvre pour la septième fois de sa vie. Pour ne pas mourir de faim il vend un boisseau de bois et rapporte du riz que sa femme met à cuire. Des disciples du Bouddha viennent mendier leur nourriture. L’épouse offre son riz aux deux disciples, et prend la résolution de garder le riz restant pour elle et son époux, pour continuer à vivre .Le Bouddha Shaka se présente à son tour et l’épouse emplie de joie lui offre le riz qui reste. Au retour de son époux, grâce à la générosité de sa femme, les greniers de sa maison se remplissent miraculeusement de trésors. Shudatsu décide alors de fonder une demeure pour la Communauté des moines et d’y faire offrande chaque jour .Il couvre d’or la place d’un magnifique site cédé par un prince. Il installe le Bouddha, des Bodhisattva et les cinq cents disciples dans cette merveilleuse demeure appelée le monastère de Gi-on. |
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TC0161 | TE017716 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : XII, 31 | COMMENT, APRÈS QU'UN MOINE EST MORT, SA LANGUE DEMEURE ET SE TROUVANT DANS LA MONTAGNE Y RÉCITE LE LOTUS DE LA LOI.– Le Bodhisattva du Sud, renommé pour son enseignement, reçoit la visite d’un moine pourvu d’un pot à eau en cuivre blanc, d’une chaise à méditation, et d’un exemplaire du Sûtra du Lotus de la Loi qu’il ne cesse de réciter. Après un an passé près du Bodhisattva, le moine annonce son départ vers la montagne, donne sa chaise au Bodhisattva et part accompagné de deux laïcs. Le moine, ne gardant que son pot à eau et une corde offre le reste de ses biens aux deux laïcs avant de les renvoyer. Deux ans plus tard, des villageois venus dans la montagne pour construire des bateaux, entendent une voix qui récite sans cesse le Sûtra du Lotus de la Loi. Emplis de respect, ils décident de trouver l’homme qui récite pour lui faire offrande. Mais ils ne trouvent personne. Quand ils reviennent plus tard dans l’année pour tirer leurs bateaux, ils entendent toujours cette voix merveilleuse et en informent le Bodhisattva. Celui-ci se rend dans la montagne et trouve le cadavre d’un homme qui s’est suicidé en se jetant sur les rochers. Il comprend qu’il s’agit du moine quand il voit le pot à eau près du corps. Trois ans plus tard, le Bodhisattva retourne dans cette montagne et entend toujours la voix. Comme il regarde à l’intérieur du crâne du cadavre, il découvre que la langue, miraculeusement, n’a pas pourri. Le Bodhisattva éploré prie pour le moine et passe sa vie très pieusement en récitant le Sûtra du Lotus de la Loi. |
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TC0161 | TE017715 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : XII, 18 | COMMENT UN BOUDDHA DU YATA-DERA EN LA PROVINCE DE KAWACHI NE BRÛLE PAS AU FEU.– Une veuve veut faire peindre l’image du Bouddha Amida pour en faire offrande au monastère Yata-dera. Etant très pauvre, elle laisse passer le temps et n’accomplit pas son vœu. Mais un jour elle glane des épis de riz et appelle un peintre qui, ému par ce vœu, accepte de copier l’image, qui est installée dans le sanctuaire principal du monastère. Mais un voleur brûle ce sanctuaire. Dans le feu il ne reste que l’image peinte qui n’a subi aucun dommage. Grâce à l’esprit d’éveil de cette femme, et de sa foi, le bouddha a accompli ce miracle. |
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This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
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