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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: muet | mute | Stumm | mudo | muto
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0138 | TE019780 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 638 | Un enfant muet se met à chanter les cantiques à la Vierge. |
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TC0157 | TE017127 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 69, p. 303, l. 22 – p. 304, l. 2 | Un évêque de Bologne s'était comporté comme un commerçant plutôt que comme un homme d’Église. Il était allé jusqu’à aliéner les propriétés de l’Église autour de sa ville. Il perdit la voix. Il survécut sept ans, mais resta muet. Elle est clairvoyante la justice divine qui prive de sa langue celui qui s’en était servi pour un tel commerce. | |
TC0158 | TE016465 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 38 | Le prince héritier muet.– Le prince héritier Mou-p'o (en pâli Mûgapakkha) est resté muet jusqu'à l'âge de treize ans. Il recouvre la parole au moment où son père veut le faire enterrer vivant; il explique alors son silence antérieur en montrant qu'une parole inconsidérée peut être cause que celui qui l'a prononcée endure de grands tourments dans des existences ultérieures. | |
TC0158 | TE016758 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 308 | Celui dont on fendit la joue parce qu'il avait fourré du riz dans sa bouche.– Un homme remplit sa bouche de riz dérobé. Sa femme lui ayant adressé la parole, il ne voulait pas cracher le riz et ne parlait pas; elle, croyant qu'il avait un abcès dans la bouche, le dit à son père qui fit venir un médecin; celui-ci fendit la joue du pauvre homme et le riz s'en échappa. | |
TC0158 | TE016608 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 166 | Lo-yun-tchou (Râhulamani?) était un disciple de Çâriputra; pour avoir dérobé la nourriture d'un Pratyeka Buddha, il endura pendant des kalpas (milliards d’années) illimités la condition de démon affamé, puis étant redevenu homme, il souffrit de la faim pendant cinq cents générations. Maudgalyâyana ayant pitié de lui, mendia de la nourriture et la lui donna, mais elle fut aussitôt enlevée par un grand oiseau; Çâriputra fit le même geste, mais elle fut changée en boue; Mahâkâçyapa également, mais la bouche du disciple de Çâriputra se ferma sans pouvoir se rouvrir. Le Buddha seul réussit à lui faire absorber de la nourriture. |
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TC0161 | TE017698 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : VI , 05 | COMMENT KUMARAEN A VOLÉ LA STATUE DU BOUDDHA ET L’A TRANSMISE EN CHINE.– Alors que Bouddha est au ciel pour convertir sa mère, un roi, triste de son absence, fait fabriquer par un dieu artisan une statue en bois. Quand Bouddha veut redescendre du ciel par trois escaliers, le Bouddha en bois vient se prosterner devant lui. La statue est alors vénérée par le monde entier. Kumaraen, un saint homme décide de voler l’icône en bois et de l’apporter en Chine pour convertir le pays. Il voyage jour et nuit, aidé par le Bouddha en bois. L’homme, fatigué, arrête son chemin pour se reposer dans un pays situé entre l’Inde et la Chine. Le roi de ce pays, trouvant ce voyage trop difficile pour ce vieil homme le persuade de s’unir à sa fille dans l’espoir d’une future grossesse. Mais la femme ne tombe enceinte que quand elle ferme la bouche de Kumaraen pendant leur accouplement pour l’empêcher de réciter une stance sur l’impermanence. Kumaraen meurt. Un garçon naît, grandit et pour respecter la volonté de son père, transporte le Bouddha en bois jusqu’en Chine où il est reçu par le roi et vénéré dans tout le pays. |
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