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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: corde | rope | Seil | cuerda | corda
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0158 | TE017040 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 498 | Les dix rêves du roi Prasenajit .– Le roi Prasenajit a vu en rêve dix choses : 1° trois jarres réunies; les deux jarres latérales étaient pleines de vapeurs qu'elles se passaient de l'une à l'autre, mais la jarre du milieu restait vide: 2° un cheval qui mangeait par la bouche et par le fondement; 3° un petit arbre qui portait des fleurs; 4° un petit arbre qui produisait des fruits; 5° un homme qui fabriquait une corde; derrière l'homme se trouvait un mouton; le maître du mouton mangeait la corde; 6° un renard assis sur un lit d'or et mangeant dans de la vaisselle en or; 7° une grande vache qui tétait un veau; 8° quatre bœufs qui venaient en mugissant des quatre côtés de l'horizon pour se battre entre eux; 9° un grand étang où l'eau était trouble au milieu et claire sur les bords; 10° un grand torrent qui coulait absolument rouge. Le Buddha explique ces dix rêves et rassure le roi au sujet des présages qu'ils annoncent (cf. n° 359). |
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TC0158 | TE016483 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 56 | Le roi-singe qui fait traverser une rivière à cinq cents singes.– Le Bodhisattva, étant un roi-singe, sauve cinq cents singes en leur faisant traverser une rivière sur un pont improvisé formé d'une corde de rotin et de son propre corps. Il se livre au roi du pays pour que celui-ci pardonne aux autres singes d'avoir volé des fruits dans son parc. Le roi, admirant qu'un animal ait des sentiments supérieurs aux siens, ordonne qu'on nourrisse les singes dans son royaume et que dorénavant on ne leur fasse aucun mal (cf. t. I, nos 18 et 57). | |
TC0158 | TE016484 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 57 | Le roi-cerf qui fait un pont de son corps pour sauver d'autres cerfs.– Une troupe de cinq cents cerfs se trouve cernée; le roi des cerfs se place sur la corde qui les enserre et fait échapper tous les autres cerfs qui passent sur son dos. Le roi des hommes, touché de son dévouement, renonce à la chasse (cf. n° 18, et n° 56). | |
TC0159 | TE017580 | Petrus Lemovicensis | De oculo morali | Un roi souhaitait organiser sa succession. Il demanda qu’on appelle ses trois fils et déclara vouloir que le plus fainéant d’entre eux hérite du royaume. Le premier déclara que celui-ci devrait lui revenir car, installé devant la cheminée, il était si fainéant qu’il laissait ses jambes étendues brûler. Le second se déclara tout aussi compétent puisque, quand bien même une corde lui serrerait le cou, il ne la couperait pas avant d’être pendu, même s’il avait une épée dans la main droite. Le troisième, enfin, assura être le plus méritant pour régner après son père. Il se dit si fainéant qu’allongé sur son lit, il laissait l’eau de ses yeux couler, du côté droit comme du côté gauche, sans jamais bouger ou arranger sa literie. Le roi choisit alors le troisième pour lui succéder, le qualifiant d’authentiquement fainéant. En effet, le premier appréciait trop la compagnie d’une foule démoniaque, préférant se brûler au feu du pêché plutôt que de s’en éloigner. Le second, après avoir constaté être attaché par les cordes de ses pêchés, ne fait rien pour s’en extraire en utilisant une épée comme l’épée de sa langue, au moyen de la confession. Le troisième, enfin, avec les larmes coulant de ses deux yeux, du côté droit comme du côté gauche, entend les enseignements tant des joies du Paradis que des tourments de l’Enfer. Grâce à sa fainéantise, il ne souhaite se tourner ni du côté droit, avec l’amour et les récompenses, ni du côté gauche, avec les pêchés, la peur et les tourments. |
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TC0159 | TE017663 | Petrus Lemovicensis | De oculo morali | Comme Samson, capturé par Dalila, a d’abord été dépouillé de ses cheveux, aveuglé et enfin lié de cordes, le pécheur, qui est trompé par le diable, est d’abord dépouillé de ses vertus, fait aveugle de ses yeux intérieurs et lié par les cordes du péché. De la même manière, un ours qui est rendu aveugle par une lampe pour amuser son maître rappelle le pécheur, rendu aveugle par le plaisir, qui donne gratuitement satisfaction au diable. |
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