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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0138 | TE019183 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 128 | Les quatre coffrets du roi. | |
TC0138 | TE019901 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 760 | Le serviteur curieux qui fait échapper l'oiseau de son maître. | |
TC0138 | TE019697 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 555 | Un coffre décoré pour expliquer à un prince la Gloire de Dieu. | |
TC0138 | TE019523 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 421 | Le corbeilles de sable et les corbeilles d'argent. | |
TC0142 | TE017914 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : II, 34 | L'argent confié par un usurier à un monastère cistercien détruit celui des moines conservé dans le même coffre. | |
TC0157 | TE017336 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 89, p. 534, l. 12 – p. 534, l. 15 | L’Empereur Justin avait tant de richesses que sa femme fit construire des coffres en or pour les contenir. Mais plus tard, il mourut affligé de maladie mentale. Et il perdit ainsi le pouvoir. Son or ne put rien pour lui. | |
TC0158 | TE016727 | anon. | Cinq cents contes et apologues extraits du Tripitaka chinois [Chavannes, 1962] : 277 | Les démons piçâcas.– Deux démons se disputent la possession d'un coffre inépuisable, d'un bâton qui triomphe de tous les ennemis, d'un soulier qui permet d'aller où l'on veut. Un homme, pris pour arbitre, les prie de s'éloigner quelque peu et en profite pour s'emparer des trois objets magiques (cf. n°s 470 et 477). |
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TC0163 | TE018081 | Kamo no Chomei | Hosshinshū (Récits de l'éveil du cœur) [tr. Pigeot, 2014] : 19. | SÔSHIN RESTITUE UNE ÉTOLE APRES SA MORT.– Le moine Senshun, après avoir étudié sur la montagne, réside dans un monastère du pays de Tsu. Il possède un ensemble de trois étoles qui ont été possédées par plusieurs dignitaires dont l’illustre Bodhisattva Monju. Le moine Sôshin, habitant non loin du monastère, devient le disciple de Senshun. Après avoir entendu les histoires merveilleuses autour de ces étoles, il désire en hériter et Senshun lui en donne une en lui promettant les deux autres à sa mort. Mais le disciple tombe malade et meurt. A sa demande, il est enterré avec son étole. Par la suite Senshun vient réclamer aux disciples de Sôshin l’étole manquante, pour ne pas dépareiller l’ensemble. Quand les disciples de Sôshin rapporte les dernières volontés de leur maître, Senshun peine à les croire, mais finit par se résigner, tout en se désolant. Or, un an après, Senshun voit en rêve le défunt Sôshin qui lui dit avoir pu renaître dans la cour intérieure grâce aux mérites acquis en revêtant l’étole. Sôshin ajoute que devant la profonde affliction de Senshun, il lui rend et lui demande d’aller ouvrir le coffre où elle était rangée autrefois. Une fois éveillé, le moine ouvre le coffre et trouve l’étole bien pliée, à sa place. Il se met à pleurer devant cet extraordinaire prodige. Plus tard, à l’heure de sa mort, il revêt les étoles et accomplit sa Renaissance. Puis un de ces disciples en hérite à son tour et accomplit lui aussi sa Renaissance. |
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TC0165 | TE018330 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 78, pp. 154-159 | Herbert raconte une série d'histoires à propos de Geoffroy de Melun, d'abord moine de Clairvaux puis évêque de Sorrès en Sardaigne, qu'il lui a racontées en privé. Un jour, alors qu'il se trouve dans le chœur de Clairvaux, il voit une procession de saints, accompagnés par des acolytes, des diacres, des sous-diacres et des prêtres. La procession, conduite par la Vierge accompagnée des apôtres Pierre et Jean part du nord de l'église, comme si elle venait du cimetière, et se dirige vers l'infirmerie, où elle disparaît. Tescelin, un homme âgé et vénérable, se trouve là. Geoffroy pense que la vision indique son salut. Un autre jour, alors qu'il chante avec les autres, il voit un démon sous la forme d'un singe qui traverse le chœur, s'arrête devant lui, lui rit au visage en dilatant les narines, puis disparaît pour ne plus jamais réapparaître. Malade, il perd la force de chanter dans le chœur, et supplie Bernard de l'aider. Bernard lui apparaît en rêve, fait le signe de la croix et le touche là où il a ressenti une douleur, et lorsqu'il se réveille, Geoffroy est complètement guéri. Une autre fois, un moine qui fait partie de ses proches tombe malade. Alors qu'il prie pour sa santé, Geoffroy a une vision dans laquelle on lui dit qu'un des moines guérira, mais pas celui auquel il est le plus attaché, qui mourra. La vision se concrétise, et Reinald de Cluny décède. Priant avec beaucoup de larmes pour sa mère, il souhaite savoir où elle se trouve dans l'au-delà. Une voix divine lui reproche de demander ce qu'il n'est pas autorisé à savoir. Après une vision dans laquelle un homme vénérable lui met une bague au doigt, il devient évêque de Sorrès pour une durée de sept ans et est pour les autres un exemple de sainteté. Alors que la mort approche, bien qu'il l'ignore, il se rend à Clairvaux et prie Dieu de lui permettre d'y mourir. Malade, après quelques jours de souffrance, il reçoit l'extrême-onction et meurt le jour de la consécration de l'église de Clairvaux. Il est enterré à côté de Geoffroy de La Roche-Vanneau. Avant la mort de Geoffroy, un des moines de Clairvaux a la vision d'un lit élégant en cours de préparation, et le jour de sa mort, il voit une lumière très intense autour de son corps, déjà apporté à l'église. Il comprend que Geoffroy est avec Dieu. Deux mois plus tard, le même moine a une vision dans laquelle Geoffroy est habillé en prêtre, comme s'il se préparait à célébrer la messe. Il y aurait d'autres histoires à raconter, mais Herbert n'en choisit qu'une : Geoffroy décide de restaurer une vieille église en ruines et, pendant les travaux, un vieux coffre contenant des reliques de saints et une hostie parfaitement conservée est retrouvé, pour la plus grande joie des personnes présentes. |
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This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
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