ThEMA
Thesaurus Exemplorum
Thesaurus Exemplorum
Medii Aevi
- HomeAccueilStartseiteHomePágina principal
- CollectionsRecueilsSammlungenRaccolteColecciónes
- Source textsTextesOriginaltextTesto originaleTexto original
- KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves
- SearchChercherSuchenCercaBuscar
- AboutÀ proposÜberA propositoAcerca de
- DownloadsTéléchargementsDownloadsDownloadsDescargas
- Log inSe connecterAnmeldenAccessoIniciar sesión
KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: cadeau | gift | Geschenk | regalo | regalo
21 occurences in ThEMAoccurrences dans ThEMAAuftritte in ThEMAoccorrenze nel ThEMAocurrencias en ThEMA
ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
---|---|---|---|---|---|
TC0138 | TE019347 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 292 | Les parents d'un mourant s'apitoient plus sur leur sort que sur celui de l'agonisant. 2 exempla pour le prouver à une veuve éplorée. 1-Des moines pleurent la mort de leur âne car il portait toutes leurs charges. 2-Un chevalier à l'agonie entend sa famille s'apitoyer sur elle-même et non sur sa mort prochaine. Il change alors son testament et donne la moitié de ses biens aux pauvres. |
|
TC0138 | TE019178 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 123 | Tentative de corruption d'un bailli par des presents (un taureau et une vache). | |
TC0138 | TE019187 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 132 | Générosité de l'empereur Titus. | |
TC0138 | TE019247 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 192 | Un élève n'ayant pas de présent pour son maître Socrate s'offre lui-même. | |
TC0138 | TE019736 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 594 | L'homme envieux qui demande à perdre un œil. | |
TC0138 | TE019149 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 100.6 | 12 sages démontrent la sottise de l'avarice. 6. Un fou invitée par le roi croit que la vaisselle lui est offerte. | |
TC0138 | TE019574 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 449 | Comment il faut aimer Dieu: de toute son âme et de toute sa force. | |
TC0138 | TE019207 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 152 | Entraide exemplaire du boiteux et de l'aveugle. | |
TC0142 | TE018857 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VII, 38, 5 | L'abbaye de Himmerod eut un cheval si beau que le duc de Lorraine ainsi que l’archevêque de Trèves proposèrent pour lui une somme d'argent très importante. Les moines, craignant d’offenser l'un en accordant leur préférence à l'autre, décidèrent d’offrir le cheval en cadeau au comte de Hollande. Walter de Birbech, moine d'une vie exemplaire, fut chargé, avec deux convers, d'accompagner l’expédition. En route, le cheval s’échappa. Les convers essayèrent de l’attraper – en vain. Walter dit qu'il fallait se confier à la Vierge Marie. Le cheval, doux comme un agneau, revint dans les mains de Walter. | |
TC0142 | TE018854 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VII, 38, 2 | Quand le chevalier Walter de Birbech, futur moine à Himmerod, assista à la messe, le prêtre trouva sous le pied de son calice une croix d'or adressée au chevalier Walter de Birbech de la part de la Vierge Marie. Devenu moine, Walter offrit la croix au monastère et ne protesta point quand la comtesse de Hollande voulut l'obtenir pour sa collection de reliques. |
|
TC0142 | TE018919 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VIII, 85, 1 | Un abbé de Volkenroda eut une révélation concernant deux des onze mille vierges, enterrées en dehors de l’église du monastère sainte Ursule de Cologne. Il en parla avec l’abbesse et obtint la permission de les exhumer. Lors de l'exhumation on trouva un très beau peigne dont une moniale s'empara en secret. Alors que l’abbé était en route vers son abbaye avec les précieux ossements, les deux vierges lui apparurent en songe et dirent qu'elles ne voulaient pas partir avec lui, car il à l’une manquait son peigne, un cadeau de sa mère. Le peigne fut retrouvé, et l’abbé put doter son monastère de précieuses reliques. |
|
TC0157 | TE017180 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 76, p. 381, l. 12 – p. 383, l. 27 | Il y a peu, Pierre Damien se rendit à Milan en compagnie du pape Nicolas. L’abbé du monastère Saint-Simplicien lui envoya alors un vase d’argent. Or, les membres de la Curie ne peuvent accepter de dons de la part de ceux qui ont des affaires en cour de jugement, mais seulement de la part de ceux qui ne sont pas en procès. Il vérifia donc auprès de cet homme ce qu’il en était. Il n’avait aucune affaire en cours. Il envoyait ce cadeau, dit-il, en pure amitié. Or, Pierre Damien se récusa : entre moines, on n’achète pas l’amitié par des présents ; elle est donnée gratuitement. Mais à ce moment, Pierre Damien souhaitait en fait que l’autre lui force la main, l’oblige à accepter. La nuit, en chantant les psaumes, il prit conscience de ce mal. Il retourna donc trouver l’abbé et lui expliqua qu’il ne pouvait décidément accepter ce don. Comme l’autre insistait, Pierre Damien lui suggéra de l’offrir à un des deux monastères qu’il avait fait construire, afin de le doter. Mais en revenant au monastère, Pierre Damien fut aussi torturé par ce don. Après beaucoup d’états d’âme, il décida que même au nom du monastère, il ne pouvait l’accepter. Il retourna ce don et sera dans le futur plus vigilant en ce qui concerne les sordides cadeaux. |
|
TC0157 | TE017051 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 14, p. 146, l. 15 – p. 149, l. 9 | Gérard, chanoine de Florence, rapporte cette anecdote à Pierre Damien. L’action se situe en Toscane. Rainer, prêtre, reçoit une vision à propos de Pierre, son collègue également prêtre, et du noble Hildebrand. Hildebrand, très riche, s’était choisi pour père spirituel le prêtre Pierre, qui lui attribuait ses pénitences. Dans la vision de Rainer, Pierre est appelé en haut d’une montagne par la voix de saint Benoît. Ce dernier lui inflige la lèpre, et lui révèle dans l’instant le moyen de s’en guérir. Hildebrand, à sa mort, avait en effet légué un manteau en aumône à son confesseur, Pierre. Ce manteau porte la marque du péché, et cause la maladie de Pierre. Qui le porte, porte également la maladie qui lui est associée. Il faut le rendre, pour se débarrasser également du châtiment. Benoît conduit ensuite le prêtre Pierre dans une vallée, où coule un fleuve infernal. Dans le fleuve, Hildebrand, méconnaissable, évoque les supplices qu’il subit, et son état désespéré. S’y trouvent également des oiseaux à plumes noires ou blanches. Pierre est informé qu’il s’agit d’âmes : en ce lieu purgatoire, elles se purgent de la noirceur de leurs péchés. Il rencontre également un certain Lothaire, qui le charge d’un message. Il prie sa famille de restituer à l’église de Marie bienheureuse ce qu’il lui avait volé. Enfin, de nombreux êtres terribles s’affairent à préparer l’arrivée d’un certain Guy. |
|
TC0157 | TE017052 | Petrus Damianus | Die Briefe : Lettre 14, p. 149, l. 20. - p. 150, l. 16 | Le moine Rodolphe, personnage important et sage, remet à Pierre Damien, à l’attention de ses frères un manteau nommé triblathon, car il porte trois couleurs. En échange, il demande des prières pour solliciter la clémence divine, afin que son cœur soit libéré de l’amour du siècle et des ténèbres. Pierre Damien accepte la requête. Il tente de refuser le don, mais cela donne lieu à des flots de paroles qu’il juge inutile de rapporter. Il apporte le manteau à ses frères, qui le reçoivent sans gratitude et commencent à le quereller. Ils n’apprécient pas le don, mais considèrent que cet objet les pollue. Ils ne peuvent revenir en paix jusqu’à ce que Pierre Damien rende ce don à son premier propriétaire – lui promettant néanmoins que les prières qu’il demandait seront effectuées gratuitement. Pierre Damien se réjouit d’avoir été blâmé et réprimandé à cette occasion. | |
TC0161 | TE017748 | Minamoto no Takakuni | Konjaku monogatari shū [tr. B. Frank] : XXX, 11 | COMMENT UN HOMME D'UNE NATURE QUI N’EST POINT VULGAIRE AYANT QUITTÉ SON ÉPOUSE REVIENT ENSUITE HABITER AVEC ELLE.– Un homme quitte son épouse attristée pour vivre avec une autre femme. Au cours d’un voyage, il fait envoyer à sa nouvelle épouse pour se distraire, une palourde et une algue qu’il a trouvées au bord d’un rivage. Mais le petit serviteur chargé de cette tâche, se trompe de maison, et apporte les objets à la première femme qui comprend que c’est une méprise. Mais elle fait mettre le coquillage et l’algue dans de l’eau pour qu’on puisse se divertir en les regardant. Quand l’homme regagne la maison de son épouse d’à présent, il lui demande si les objets sont toujours là. Celle-ci dit que si jamais elle les avait vus, elle aurait fait griller le coquillage pour le manger, ainsi que l’algue qu’elle aurait fait mariner. L’homme apprend qu’ils ont été portés à l’épouse d’avant et, furieux, demande au petit serviteur de lui rapporter les objets. L’épouse d’avant les emballe délicatement, en écrivant quelques vers avec de jolis jeux de mots. L’homme, touché par tant d’élégance et de délicatesse, quitte la maison de l’épouse d’à présent, et s’en retourne vivre avec celle d’avant. | |
TC0163 | TE018150 | Kamo no Chomei | Hosshinshū (Récits de l'éveil du cœur) [tr. Pigeot, 2014] : 84. | LE CONTRÔLEUR MONACAL ÉSHIN RENONCE AU MONDE PAR FIDÉLITÉ AUX SENTIMENTS DE SA MÈRE.– Le contrôleur monacal Eshin, pris par ses obligations, ne peut manifester à sa mère pauvre et très âgée sa piété filiale. Quand il reçoit de nombreuses gratifications après avoir présidé un office bouddhique, il s’empresse d’aller porter tous ces présents à sa mère. Mais celle-ci se met à pleurer. Elle reproche à son fils cet acte qui la conduira aux enfers, alors qu’elle pensait qu’avoir un fils moine contribuerait à son salut dans l’autre monde. A ces mots le moine éveille son cœur et renonce au monde. | |
TC0165 | TE018304 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 52, pp. 120-123 | Laurent, un convers de Clairvaux, est particulièrement dévoué à saint Bernard et à saint Malachie. Un jour, alors qu'il est encore novice, il voit un démon qui se révèle au signe de la croix comme le responsable de la tentation de Job. Pris de peur, Laurent s'enfuit et ne revoit plus jamais le démon. Après la mort de saint Bernard, Philippe de Clairvaux envoie Laurent, alors prieur de Clairvaux, rencontrer le roi de Sicile, Roger. À Rome, Laurent apprend la mort du roi de Sicile. Ne sachant plus quoi faire, il invoque saint Bernard qui lui apparaît la nuit suivante pour le consoler. Le voyage se déroule remarquablement bien : Laurent est accueilli par le nouveau roi, et les cardinaux romains, au moment de son départ, lui offrent des buffles très forts et agressifs. Obligé de traverser une région dangereuse, il prie Dieu et saint Bernard de lui venir en aide. Il a alors la vision de deux hommes portant des bougies allumées et, lorsqu'il est attaqué par des voleurs, des personnes vénérables lui viennent en aide. Il parvient ainsi à rentrer sain et sauf à Clairvaux, où les buffles sont admirés et où la race se répand progressivement. |
|
TC0165 | TE018228 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 32, pp. 62-64 | Richard, autrefois abbé de Savigny, raconte qu'un abbé d'un monastère de sa lignée (en Angleterre), après avoir longtemps vécu comme un pécheur, reçoit comme une grâce les odeurs et les goûts sucrés (parfois séparément, parfois ensemble), une fois devenu moine. Afin de corroborer la véracité du récit, Herbert rapporte de nombreux épisodes similaires, dont un récit de première main. Bien que ce soit courant, Herbert s'étonne qu'une grâce aussi importante ne soit que rarement évoquée dans les vies de saints. Pour ceux qui auraient encore des doutes, Herbert se souvient d'avoir entendu des histoires sur la façon dont Saint Bernard a vu un ange répandre de l'encens parmi les moines qui chantaient dans le chœur. |
|
TC0165 | TE018200 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 6, pp. 23-29 | Le maître des novices Acardus raconte sa rencontre avec l'ermite Schetzel, qui remonte à l'époque où il se trouvait à l'évêché de Trèves lors de la construction du monastère de Himmerod. Afin de martyriser sa propre chair, Schetzel vit seul et nu dans la forêt, mangeant très peu, pour l'amour de Dieu. Quatre ans avant sa mort, pendant un hiver beaucoup plus rude que les autres, il passe ses nuits dans la cour d'un homme pauvre et honnête, qu'il ne dérange en aucune façon, puis retourne chaque fois dans la forêt avant le lever du soleil. Parfois, il prend des miettes de pain qu'il garde dans un petit sac, qui est sa seule richesse. Saint Bernard en entend parler et charge Acardus d'aller avec d'autres moines pour saluer l'ermite et lui apporter de modestes présents, une tunique et des sandales. Après avoir évité les moines pendant quelques jours, Scheztel décide finalement d'accepter leur demande de rencontre, faite par l'intermédiaire de l'homme qui l'a accueilli. L'ermite accepte alors les présents, les enfile et les retire immédiatement après. Cela lui permet d'accepter les cadeaux de Bernard (qu'il remercie), sans pour autant les conserver. Frappés par l'affabilité et la bonté de l'homme, les moines lui demandent s'il a déjà subi les tentations de la chair, ou s'il a été dérangé par des démons. Schetzel sourit, affirme que personne n'échappe à la tentation, puis raconte une histoire. Une fois en hiver, nu comme à son habitude, il reçoit la neige envoyée par Dieu comme une couverture qui l'enveloppe complètement, à la seule exception d'une petite ouverture au niveau de son nez, pour respirer. Attiré par la chaleur, un lièvre s'approche de lui et s'assoit sur son visage. L'arrivée du petit animal prend l'ermite par surprise. Il sourit et se surprend à vouloir caresser l'animal, abandonnant ainsi sa concentration et son sérieux. D'un seul effort, Schetzel résiste à la tentation et laisse le lièvre en paix. C'est, dit-il, l'une des plus grandes tentations qu'il ait connues de toute sa vie. Schetzel a raconté cette histoire et d'autres semblables aux moines, avant de les saluer et de se recommander à Bernard. Acardus conclut en racontant le fort impact des paroles de l'ermite sur lui et ses frères, qui ont compris qu'ils n'étaient rien devant l'impressionnante perfection de Schetzel. Celui-ci, ayant prédit sa propre mort, il est à présent enterré au Luxembourg. |
|
TC0165 | TE018412 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 160, pp. 285-286 | Au temps Conrad, père d'Henri, un ecclésiastique donne à Henri une paille en argent, une de celles avec lesquelles les enfants s'amusent à jeter de l'eau, en échange de la promesse qu'Henri le ferait évêque, une fois devenu empereur. Une fois devenu adulte, Henri tient sa promesse. Mais il tombe alors gravement malade, demeurant aux portes de la mort pendant trois jours entiers, n'étant sauvé que grâce aux prières des évêques. Encore convalescent, il retire son titre à celui qu'il avait injustement fait évêque et déclare qu'au cours des trois derniers jours, il a été attaqué par des démons jouant avec la paille d'où sortaient des flammes. Il a été sauvé par un jeune homme qui avait éteint le feu avec l'eau qu'il portait dans un calice d'or. Il s'agissait de saint Laurent, dont Henri fait reconstruire le toit de la cathédrale à Mersenburg, et pour laquelle il fait don d'un calice en or. Il vit de grands miracles, comme celui de la biche qui le porte sur son dos à travers une rivière infranchissable et bien d'autres encore. Henri meurt à Spire la dix-huitième année de son règne. |
|
TC0165 | TE018350 | Herbertus Turrium | Liber visionum et miraculorum Clarevallensium : 97, pp. 181-182 | Herbert raconte une histoire récente, célèbre en Espagne. Une jeune fille, fille d'un riche Sarrasin, veut devenir chrétienne et convainc un chevalier chrétien de l'emmener pour l'épouser après sa conversion, en lui offrant la moitié de ses biens. Le chevalier accepte. Ils partent avec un enfant qui lui est fidèle et s'arrêtent dans un verger près d'une commanderie des templiers, ne pouvant y entrer à une heure tardive. Après avoir mangé, le chevalier, poussé par la luxure, veut coucher avec la femme, qui lui fait des reproches en lui rappelant qu'elle n'est pas baptisée. Sa résistance irrite le chevalier qui la décapite et jette le cadavre au feu. Mais Dieu le punit immédiatement en laissant sortir d'une grotte un dragon qui le dévore. L'enfant, terrifié, s'enfuit et raconte aux Templiers ce qui s'est passé le matin suivant. Ils recueillent les restes de la femme et l'enterrent avec vénération à la manière d'une martyre. Le pape Alexandre juge qu'elle est bel et bien une martyre, baptisée de son propre sang. |
|
This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0