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KeywordMot-cléStichwörtParola chiavePalabra clave: peine capitale | death penalty | Todesstrafe | pena capital | pena capitale
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | AuthorAuteurVerfasserAutoreAutor | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla | KeywordsMots-clésStichwörterParole chiavePalabras claves |
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TC0138 | TE019383 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 328 | Un clerc est pendu pour s’être fourvoyé dans un mauvais lieu. | |
TC0138 | TE019381 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 326 | Le voleur pris pendent qu'il contemplait trop longuement des trésors. | |
TC0138 | TE019960 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 819 | Fidélité d'un lion qu'un berger avait délivré d'un piège (Androclès). | |
TC0138 | TE019336 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 281 | Le taureau de Phalaris. | |
TC0138 | TE019322 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 267 | La belle-mère criminelle sauvée du bûcher grâce à son repentir. |
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TC0138 | TE019686 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 544 | Le voleur et les perdrix. | |
TC0138 | TE019320 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 265 | Des deux meurtriers condamnés au bûcher, seul le pénitent est miraculeusement sauvé. |
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TC0138 | TE019277 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 222 | Une prisonnière est nourrie par le lait de deux amies. | |
TC0138 | TE019660 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 520.14 | Le Livre des Sept Sages de Rome. La belle-mère jalouse [Noverca]. |
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TC0138 | TE019689 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 547 | L’honnête marchand accusé de vol par un voleur. | |
TC0138 | TE019826 | Johannes Gobii | Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991] : 684 | Le prince des voleurs mené à la potence est sauvé par une statue de la Vierge. |
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TC0142 | TE018659 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VI, 23 | A Paris un prévôt du roi de France Philippe-Auguste désirait la vigne de son voisin. Le voisin la lui refusa, malgré plusieurs demandes et même des menaces. Quand le voisin mourut, le prévôt paya deux galeux et, ouvrant la tombe avec eux, mit le prix de la vigne dans la main du mort. Ses complices purent donc témoigner sans mentir qu'ils avaient vu le voisin recevoir de l'argent pour la vigne des mains du prévôt. Ainsi, celui-ci s’empara de la vigne. La veuve se plaignit au roi. Les deux galeux furent reçus chacun à leur tour par le roi. Au premier le roi fit réciter le Notre Père, et il dit au second que l’autre avait dit toute la vérité, aussi facilement qu’il dirait un Notre Père. Confondus par le roi, ils avouèrent la fraude : la vigne fut rendue à la veuve et le prévôt fut condamné à être enterré vivant. |
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TC0142 | TE018710 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : X, 36 | Un clerc vagabond payé par un paysan, avait incendié deux fois la maison de son voisin. Le voisin obligea les gens qu'il tenait en suspicion à passer l’ordalie du fer brûlant. Tous furent épargnés. Il reconstruisit alors sa maison et fit suspendre le fer dans un coin. L’incendiaire le visita de nouveau et demanda à quoi servait le fer. On lui raconta l'ordalie, en disant qu'on pouvait fondre le fer et en fabriquer quelque chose. Le clerc vagabond toucha le fer et sa main fut brûlée. Accusé d’avoir provoqué l’incendie, il fut exécuté. | |
TC0142 | TE018662 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VI, 26 | Bertolf de Wittelsbach était un juge excessivement sévère. Un jour, il entendit une voix qui lui ordonna de pendre la première personne qu'il rencontrerait. Cette personne fut son prévôt. Désolé pour le prévôt, Bertolf le condamna néanmoins à mort. Le condamné, se rendant compte qu’il était dans une situation inextricable, admit qu'il l'avait mérité. Il avait, en effet, tué plusieurs personnes et s’était emparé de leurs biens. Comme ce Bertolf était sans pitié, il n’en eut pas à l’égard de son prévot. Plus tard, après avoir assassiné le roi Philippe de Souabe, il fut tué par le maréchal du roi. | |
TC0142 | TE017989 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : IV, 1, 2 | Saint Bernard obtient du juge qu'il lui donne un condamné à mort pour en faire un moine, en disant qu'il le pend lui-même (faisant ainsi allusion à la sévérité extrême de la vie cistercienne). | |
TC0142 | TE018564 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : V, 22 | Au temps de la propagation de l’hérésie albigeoise, le diable insinua des doctrines hérétiques à certains théologiens de Paris [disciples de Maître Amaury de Bène]. Ils affirmaient, entre autres, que Dieu avait parlé à travers Ovide de la même manière qu'à travers Saint Augustin, ou encore niaient la résurrection des corps. L'un d'eux, l'orfèvre Guillaume vint voir Maître Rudolph de Namur et lui présenta sa doctrine, puis prophétisa l’avènement, dans cinq ans, de quatre plaies : le peuple périrait de faim ; les princes se tueraient l'un l'autre, la terre s'ouvrirait et engloutirait les bourgeois; le feu tomberait sur les prélats devenus membres de l’Antichrist. (Tout cela n'eut pas lieu). Maître Rudolph demanda alors s'il avait d'autres personnes qui partageaient ces opinions et Guillaume nomma ses complices hérétiques. Rudolph les dénonça à l’évêque de Paris. On lui demanda de s'infiltrer dans la secte, ce qu'il fit avec succès. Ainsi les hérétiques furent arrêtés, accusés, jugés et brûlés ou incarcérés à vie. A l'heure de leur mort, il y eut un grand gémissement du vent : sans doute provoqué par les démons. La même nuit, un hérétique de la secte confessa - trop tard - son erreur à une recluse et dit être damné. |
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TC0142 | TE017871 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : I, 40, 1 | Un bourgeois d’Allemagne part en pèlerinage avec sa fille Hildegonde. L’homme décède à Tyr en laissant sa jeune enfant à un serviteur qui l’abandonne. Tombée dans la misère, elle est ramenée dans sa patrie par un riche pèlerin. A Trêves, alors que deux personnages de la cathédrale s'opposent, il est décidé de faire porter par la jeune Hildegonde, déguisée en homme, une lettre au pape Lucius III. En chemin, elle est injustement accusée de vol, condamnée à la pendaison et innocentée par une ordalie. Les complices du voleur la pendent. Un ange la soutient pendant deux jours et l’emmènent miraculeusement à Vérone pour porter sa lettre au pape. |
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TC0142 | TE019043 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : XI, 54 | Un citoyen de Münster nommé Bernard dissipa son héritage dans des débauches et des beuveries. Il vendit sa maison à son beau-frère, mais dépensa rapidement tout l'argent. Tombé dans la misère, il retourna chez son beau-frère qui le laissa loger chez lui. Peu après, Bernard devint de plus en plus agressif. Il revendiqua sa maison, mais le beau-frère refusa. N'ayant pu l'obtenir par des menaces ni devant la justice, Bernard tua le beau-frère et se réfugia dans la cathédrale. Il refusait d’abord de sortir, mais finalement se laissa persuader, séduit par la promesse d'un bon vin vendu dans telle taverne. Comme il l’avoua plus tard, le plancher de l’église lui brûlait les pieds. Il fut arrêté, jugé et roué en place publique, sans un mot de repentir. L'heure de sa mort approchant, il dit avoir vu une multitude de démons se rassembler autour de lui. |
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TC0142 | TE017860 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : I, 31 | Un seigneur condamné à mort pour vol échappa à la sentence grâce à l'intervention de Daniel, abbé de Schönau, qui obtint la permission de se faire moine cistercien et de faire ainsi réparation pour ses péchés. | |
TC0142 | TE019044 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : XI, 55 | À Cologne, trois brigands furent condamnés à la roue. L'un d'eux, encore vivant, raconta aux écoliers qu'il avait vu une multitude de corbeaux à la mort de son voisin. Ce dernier expira sans prononcer aucun mot de repentir. | |
TC0142 | TE017886 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : II, 6 | Hildebrand, un paysan, a tué un compagnon et caché son forfait. Condamné au supplice de la roue, il refuse, par désespoir, de se confesser. Le prêtre, nommé Bertolphe, lui demande alors de lui apparaître après la mort et annoncer son sort. Comme promis, Hildebrand lui apparaît pour lui annoncer sa damnation éternelle et le menacer de l'enfer car il exerce son ministère sans avoir été ordonné prêtre. Celui-ci, terrifié, se fait moine. L'abbé de monastère aperçoit sa science et son éloquence, et demande en vain au pape Innocent III son ordination. Peu de temps après, la main de Bertolphe pourrit et il meurt, puni en cette vie, pour, comme l'on peut espérer, ne pas subir la punition éternelle. |
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TC0142 | TE018553 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : V, 16 | Un convers de l'abbaye de Kamp apprit à lire et se fit même copier un livre. Comme les études étaient interdites aux convers, il quitta le monastère. Cependant, après avoir échoué comme étudiant à cause de son grand âge, il y retourna à Kamp pour faire pénitence. Il continua à faire ces aller-retours jusqu'au jour où le démon, sous l’apparence d’un bon ange, lui promit qu’il succéderait à l’évêque d’Halberstadt qui venait de mourir. Le convers abandonna de nouveau le monastère, passa la nuit dans une maison et, au matin, vola le cheval et le manteau de son hôte. Arrêté, il monta au gibet comme voleur, et non sur la cathèdre comme évêque. |
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TC0142 | TE018669 | Caesarius Heisterbacensis | Dialogus miraculorum [Strange, 1851] : VI, 33 | Marcadellus, originaire de Ferrare, fut un homme très simple et saint. Une fois, il vit un curé laisser sans surveillance un encensoir d'argent. Il attira l'attention du curé. Celui-ci dit qu'il laissait l'encensoir suspendu de cette manière depuis des années, et que rien ne s’était passé. Marcadellus répondit prudemment : « Il arrive parfois un jour ce qu'on ne vit pas depuis mille ans. » L'encensoir, en effet, fut volé. Le voleur ne put pas le vendre et décida de raconter tout à Marcadellus, en le faisant d'abord jurer de ne pas le dénoncer. Marcedellus se porta volontaire pour restituer discrètement l’encensoir. Par malchance, il fut appréhendé avec le larcin. Le saint homme refusa de dénoncer le voleur et fut mis à mort à sa place. La nuit suivant l’exécution de Marcadellus, des matrones de la ville visitèrent sa tombe et y virent des cierges briller et entendirent des anges chanter. Elles le signalèrent à l’évêque qui, après s’être assuré du fait, y fit construire une basilique. Depuis, plusieurs miracles se produisirent sur la tombe du martyr. |
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This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
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