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Tubach: 1103 (21)
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla |
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TC0005 | TE002514 | Odo de Cheriton, Fabulae et Parabolae: P190 |
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TC0010 | TE000847 | Raoul de Châteauroux, Recueil de reportations de 300 sermons d'auteurs divers: Paris, BnF lat. 16481, Sermo 7, 3 | Les tourments au purgatoire sont si pénibles que, tout en étant certains qu’ils
iront au paradis, ceux qui les subissent ne peuvent penser à leur devenir. Richard, l’élève de
maître Sella, apparaît à son maître après sa mort, et lui déclare qu’il est au purgatoire parce
qu’il ne voulait pas aller écouter les sermons. Quand le maître touche son vêtement de la main,
sa paume est transpercée.
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TC0010 | TE000851 | Raoul de Châteauroux, Recueil de reportations de 300 sermons d'auteurs divers: Paris, BnF lat. 16481, Sermo 7, 7 | Saint Séverin [de Cologne], quand il était à l’office, ne disait pas ses heures
comme il le devait. Il apparaît à son archidiacre [sous un nuage d’où tombent des gouttes de feu]
et lui explique son supplice [au purgatoire. À la question de savoir si la peine est dure, une
goutte tombe sur le bras de l’archidiacre, le brûlant jusqu’à l’os. Saint Séverin le guérit alors
d’un signe de croix].
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TC0012 | TE002646 | Jacobus Passavanti, Specchio di vera penitenza: 10 | Une nuit, Serlo maître de logique, rêve d’un de ses élèves qui était
mort. Il est en enfer et endure d’atroces tourments. Pour exhorter Serlo à changer
sa vie il laisse tomber une goutte de sa sueur qui transperce la main du maître.
Alors Serlo convaincu devient moine.
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TC0013 | TE001765 | Stephanus de Borbone, Tractatus de diversis materiis praedicabilibus [Lecoy, 1877]: 9 |
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TC0014 | TE000160 | Arnoldus Leodiensis, Alphabet of Tales [Banks, 1904-1905]: 151 |
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TC0014 | TE000399 | Arnoldus Leodiensis, Alphabet of Tales [Banks, 1904-1905]: 385 |
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TC0020 | TE003556 | Jacobus Vitriacensis, Sermones vulgares [Crane, 1890]: 31 | Dieu reproche à saint Jérôme d’être cicéronien plutôt que chrétien (31a). Un
étudiant parisien apparaît en vision à son maître nommé Sella, il est vêtu d’une cape faite en
parchemin recouvert d’inscriptions. Son maître lui demande alors la signification de ces écrits
et son étudiant lui répond qu’il s’agit de sophismes et de questions futiles. Une goutte de sueur
perle à sa main, et transperce celle de son maître qui s’apprêtait à la recueillir. Le maître
entre dans l’ordre cistercien et, à Paris, montre à tous les écoliers sa main percée
(31b).
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TC0021 | TE004050 | anon., Liber exemplorum ad usum praedicantium [Little, 1908]: 121 | Apparition d’un revenant, violateur de cimetière; il est écrasé sous le poids
prodigieux d’un manteau volé. En demandant au visionnaire de prier pour lui, il touche son bras
en lui laissant une trace indélébile.
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TC0033 | TE005874 | Stephanus de Borbone, Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002]: 23 | APPARITION D’UN ETUDIANT A SON MAITRE. Un étudiant chargé d’une lourde et
brûlante cape faite de feuillets couverts de sophismes apparut à son maître après sa mort à Paris
et déclara souffrir parce qu’il avait plus craint la mort et l’enfer que la perte de l’amour de
Dieu. Une goutte de sueur transperça la main du maître, qui se retira à Clairvaux et se soumit à
une sévère pénitence.
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TC0033 | TE005926 | Stephanus de Borbone, Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002]: 75 | LA SUEUR INFERNALE. Etienne de Bourbon a vu un moine, qui, novice, avait été
tourmenté à plusieurs reprises par le diable. Ce moine racontait comme si cela était arrivé à un
autre ? mais il s’agissait sans doute de sa propre expérience ? qu’un frère avait été enlevé par
le diable pour voir les tourments futurs. A leur seule vue, il avait transpiré de façon
extraordinaire.
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TC0033 | TE006033 | Stephanus de Borbone, Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002]: 179 | APPARITION DE SAINT SEVERIN. Saint Séverin, archevêque de Cologne, apparut
après sa mort à son archidiacre qui avait entendu avec lui les voix de saint Martin lors de sa
mort. Il avait au-dessus de lui une nuée d’où tombaient des gouttes de feu. Il apprit à
l’archidiacre qu’il avait négligé, lui et ses serviteurs, de réciter, comme il se doit, les
heures. A la question de savoir si la peine était dure, une goutte lui tomba sur le bras, le
brûlant jusqu’à l’os. A ses cris, le saint lui montra quel était son pouvoir auprès de Dieu, en
le guérissant d’un signe de croix.
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TC0105 | TE012937 | anon., Tombel de Chartrose [Sulpice, 2014]: 7 | Ce poème raconte la conversion d’un maître parisien de la fin du XIIe
siècle. A la suite de l’apparition terrifiante d’un défunt élève, (celui-ci est en
enfer et endure d’atroces tourments ), expiant au purgatoire son amour excessif du
savoir et des discussions profanes, et la vanité qu’il en avait tirée de son vivant,
le maître renonce à l’enseignement de la logique et embrasse l’état religieux dans
l’ordre de Cîteaux, après avoir reçu de son élève une goutte de sueur qui le brûle
et lui transperce la main.
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TC0123 | TE007045 | anon., Collectaneum exemplorum et visionum Clarevallense [Legendre, 2005]: 137 | L’abbé Serlon, avant d’être moine, était professeur et enseignait à
Oxford, à l’invitation du roi d’Angleterre. Un de ses élèves, nommé Richard,
l’affronta en disputatio, mais fut ridiculisé. Rentré chez lui, il tomba malade et
mourut peu après en refusant les sacrements. La nuit suivante, il apparut à son
maître, dépouillé de sa peau, et lui révéla qu’il était livré aux supplices. Le
maître se demanda s’il pourrait, par son intermédiaire, soumettre à Aristote, Platon
et aux autres philosophes défunts une sentence qu’il venait d’élaborer. Le lendemain
soir, Richard revint, drapé dans une cape de parchemin. Il déclara qu’il ne
servirait à rien d’envoyer sa sentence à Aristote ou Platon car, dit-il, leur seule
préoccupation était : qu’est-ce que " ne pas souffrir" . Il apparut une troisième
fois sous la forme d’un bouclier qui renvoyait au maître son reflet, d’abord petit,
puis grand, enfin malade et mourant. Richard avertit maître Serlon qu’il était
menacé du même sort que lui. Serlon se convertit.
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TC0124 | TE014590 | anon., Collectio exemplorum cisterciensis [dir. Berlioz, Polo de Beaulieu, 2012]: XVI, 2 [241] | Après sa mort, saint Séverin, archevêque de Cologne, apparut entouré d’une
pluie de feu à son archidiacre avec lequel il avait entendu les voix des anges à la mort de saint
Martin. Il révéla qu’il souffrait pour ses distractions dans la récitation de l’office. Une
goutte de feu tombant sur le bras de l’archidiacre le blessa jusqu’à l’os. Un signe de croix
tracé par le saint fit disparaître la douleur.
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TC0137 | TE012637 | Philippe de Ferrare, Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998]: 152 | La sueur qui brûle. Un étudiant parisien apparaît après la mort à son maître
revêtu d’un manteau de parchemin orné de lettres symbolisant la vanité des discours; il explique
que les lettres pesaient comme les clochers de Saint-Germain-des-Près de Paris et que le manteau
le faisait suer en lui brûlant très fort la peau. Il le prouve à son maître en faisant tomber sur
sa main une goutte de sueur qui brûla la main du maître.
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TC0160 | TE017426 | anon., Recueil de sermons et d’exempla - Cambrai, BM, 574 [transc. A. Perard]: n°110 | A Nantes, deux clercs s'aiment et se font une promesse : le premier qui
meurt doit réapparaître à l'autre au bout de trente jours. La promesse se réalise et
l'un des clercs réapparaît, le visage très pâle. Le mort lui répond qu'il est damné. Son
compagnon lui répond qu'il va l'aider par prières et aumônes mais le mort répond que les
jugements d'enfer sont sans pénitence ni miséricorde. Le mort jette sur le clerc vivant
trois gouttes, semblable à de la sueur, sur le front et les tempes et le clerc ressent
une forte brûlure. Le mort lui dit alors que cela lui enseigne la douleur de ses peines.
Le vivant lui répond qu'il ne veut pas être un moine méchant et le mort lui dit de lire
des lettres qu'il tend au clerc. Sur ces lettres se trouvent des lettres noires qui
symbolisent les péchés des âmes. Le clerc vivant consacre sa vie aux pauvres et s'en va
à " saint Melaine" où il devient moine.
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TC0160 | TE017216 | anon., Recueil de sermons et d’exempla - Cambrai, BM, 574 [transc. A. Perard]: n°33 | A la suite de l’apparition terrifiante d’un défunt élève, (celui-ci est
en enfer et endure d’atroces tourments ), expiant au purgatoire son amour excessif du
savoir et des discussions profanes, et la vanité qu’il en avait tirée de son vivant, un
maître parisien (Serlo) renonce à l’enseignement de la logique et embrasse l’état
religieux dans l’ordre de Cîteaux, après avoir reçu de son élève une goutte de sueur qui
le brûle et lui transperce la main.
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TC0165 | TE018405 | Herbertus Turrium, Liber visionum et miraculorum Clarevallensium: 152, pp. 272-275 | Herbert rapporte un récent miracle qui a eu lieu à Nantes, qu'il a lu à la fin d'un manuscrit et dont il se souvient du contenu, mais pas des mots. Deux clercs experts en littérature, aspirant à l'honneur et à l'argent, liés par l'amour charnel, deviennent prêtres la même année. Se plaignant de la brièveté de la vie, ils promettent de revenir dans les trente jours si l'un d'eux venait à mourir. L'un des deux meurt mais apparaît au-delà des termes établis, expliquant que la volonté divine ne peut être pliée par l'orgueil des hommes et que pour cela, et pour bien d'autres maux innombrables, il a été puni. Le vivant est surpris car il lui semble que le mort ne souffre pas, mais le mort confirme qu'il souffre et fait tomber trois gouttes de sueur sur le vivant, créant ainsi trois trous, un sur son front et deux sur ses joues, le faisant tellement souffrir qu'il en meurt presque. Le défunt lui dit alors qu'il ne mourra pas, mais qu'il peut comprendre combien il est douloureux d'être dans le feu éternel. Il sort un grand parchemin écrit des deux côtés. La personne vivante ne peut pas lire un des deux côtés, même si elle reconnaît les lettres, mais quand l'autre retourne le rouleau elle comprend le texte. Il s'agit d'une lettre dont la teneur (mais pas les mots) se trouve dans le manuscrit vu par Herbert. Dans cette lettre, Belzébuth salue et remercie les prélats qu'il considère comme ses alliées et en lesquelles il a pleinement confiance pour faire sortir d'innombrables âmes du chemin de la vérité par l'exemple de leur vie. La lettre se termine par la promesse d'une rémunération adéquate pour leurs efforts. Le vivant critique les prélats infidèles et demande au mort s'il peut faire quelque chose pour lui ou pour lui-même. Le défunt répond qu'il est trop tard pour lui, mais que les vivants peuvent encore se sauver et même vivre parmi les élus en abandonnant tout pour la vie religieuse. Après la fin de la vision, le vivant donne tous ses biens aux pauvres et entre au monastère de Sainte-Mélaine, à Rennes, où il guérit de ses brûlures (même si les cicatrices demeurent pour le restant de sa vie). Herbert commente en disant que les âmes des morts peuvent revenir pour aider les autres, même lorsqu'elles-mêmes ne peuvent plus recevoir d'aide.
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TC0165 | TE018451 | Herbertus Turrium, Liber visionum et miraculorum Clarevallensium: CPS-H 13, pp. 316-317 | L'évêque Séverin de Cologne apparaît après sa mort à un archidiacre, qui est surpris parce qu'il l'a toujours considéré comme un homme saint, mais le voit sous un nuage de feu d'où des gouttes enflammées tombent sur sa tête. Séverin explique qu'il est puni pour avoir interrompu les offices divins pour des choses terrestres. Pour montrer clairement combien il souffre (mais aussi combien il peut faire souffrir), il fait tomber des gouttes sur le bras de l'archidiacre : après lui avoir fait sentir la douleur, il le guérit. Le narrateur commente à quel point ceux qui aiment le monde terrestre ont tort, car même de légers péchés apportent de graves peines.
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TC0165 | TE018445 | Herbertus Turrium, Liber visionum et miraculorum Clarevallensium: CPS-H 8, pp. 310-312 | Un convers de Clairvaux est sur le point d'entrer au monastère au service du comte de Grandpré. Lors d'un voyage nocturne, il trouve deux démons qui combattent au même endroit où des chevaliers avaient organisé un tournoi la veille. Voyant que ce sont des démons, il fait le signe de la croix et s'enfuit. Ils le poursuivent et le rattrapent, il se jette à terre vers l'est avec son épée qui a la forme d'une croix. Grâce à ses prières, la foule des démons disparaît. Il saute sur son cheval et s'enfuit. Dès qu'il arrive à destination, le cheval meurt et l'homme tombe malade, affligé d'une fièvre qui dure plus de deux mois. Une autre fois, il veut enterrer secrètement le corps d'un de ses amis, qui avait été attrapé et pendu avec d'autres complices, après avoir commis un vol. Après avoir mis le cadavre sur le dos du cheval, il est saisi de terreur et après l'avoir jeté, il devient fou. Le cheval le ramène chez lui, où il tombe sur la tête et reste inconscient pendant cinq jours. Devenu convers à Clairvaux, il convainc son jeune frère de devenir moine. Incapable de supporter les tentations de la chair, le jeune frère veut quitter le monastère et tente de convaincre le convers, mais celui-ci reste ferme et tente de le dissuader. Le moine finit par mourir et, après avoir promis à son frère, lui apparaît en vision, montrant une souffrance immense et trop difficile à raconter. Quelques jours plus tard, alors que le convers se trouve à l'extérieur du monastère, il voit deux énormes esprits maléfiques, habillés en moines. Ils jettent à terre le moine décédé, qui ne parle pas, mais laisse tomber des gouttes de sueur sur le visage et les mains de son frère - celui ci en portera les cicatrices. Les démons reprennent l'âme du mort, et le convers raconte plus tard au narrateur que son frère, avec lui-même comme complice, avait commis un grave péché qu'il n'avait jamais confessé.
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This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
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