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Tubach: 4994 (17)
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ID (coll.)ID (rec.)ID (Samml.)ID (racc.)ID (col.) | ID (ex.)ID (ex.)ID (Ex.)ID (ex.)ID (ex.) | TitleTitreTitelTitoloTitulo | ExemplaExemplaExemplaExemplaExempla |
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TC0005 | TE002429 | Odo de Cheriton, Fabulae et Parabolae: P75 |
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TC0011 | TE002871 | Jacobus de Voragine, Sermones aurei - Quadragesimale: p. 8b (1) | Le tyran Denis fait installer une épée suspendue au-dessus de la tête d’un de
ses laudateurs.
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TC0014 | TE000703 | Arnoldus Leodiensis, Alphabet of Tales [Banks, 1904-1905]: 685 |
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TC0014 | TE000432 | Arnoldus Leodiensis, Alphabet of Tales [Banks, 1904-1905]: 415 |
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TC0020 | TE003533 | Jacobus Vitriacensis, Sermones vulgares [Crane, 1890]: 8 | Un roi fait assoir sur un siège branlant un homme qui se croyait
heureux, une épée suspendue au-dessus de la tête et un feu à ses pieds, afin de lui
montrer qu’on ne peut être heureux dans de telles conditions.
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TC0020 | TE003567 | Jacobus Vitriacensis, Sermones vulgares [Crane, 1890]: 42 | Un roi, dont le frère se demandait pourquoi il ne riait jamais, fit assoir ce
dernier sur un siège branlant, une épée suspendue au-dessus de la tête et un feu à ses pieds,
afin de lui montrer qu’on ne pouvait être heureux dans de telles conditions.
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TC0020 | TE003572 | Jacobus Vitriacensis, Sermones vulgares [Crane, 1890]: 47 | Le faucon choyé de son vivant est jeté au fumier une fois mort (47a). La poule,
vivante, gratte le fumier; morte, elle est sur la table des rois (47b). Un roi fait faire deux
coffres, l’un décoré d’or et d’argent mais rempli de matières puantes et d’ossements humains,
l’autre fait de bois pourri mais rempli de perles. Le roi demande à des chevaliers de choisir un
coffre, ils choisissent le plus beau (47c).
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TC0033 | TE006055 | Stephanus de Borbone, Tractatus de diversis materiis praedicabilibus. De dono timoris [Berlioz, 2002]: 201 | LES TROMPES DE LA MORT. Barlaam raconte à Josaphat qu’un roi descendit de son
char d’or pour embrasser deux pauvres ermites. Il ne montra en revanche aucune considération
envers des princes puissants qui s’en trouvèrent fort offensés. Ce que lui rapporta son frère.
L’usage était alors que lorsqu’un homme était condamné à mort par le roi, celui-ci envoyait ses
sonneurs de trompe annoncer sa mort devant sa porte. Il les envoya devant la maison de son frère.
Celui-ci fut fait prisonnier et conduit devant le roi et ses barons. Mis à nu, attaché, menacé
par les glaives, il attendait la mort en tremblant. Le roi ordonna ensuite aux jongleurs de
chanter en musique. Le frère continuait de se lamenter. Le roi lui en demanda la cause. Comment
pouvait-il ne pas pleurer, alors qu’il était ainsi menacé? Le roi le fit alors libérer lui disant
que s’il craignait le juge terrestre, à plus forte raison lui-même devait craindre le juge
céleste. Les barons qui l’entouraient ne lui seraient d’aucun secours. Les pauvres seraient en
revanche ses avocats auprès du souverain juge.
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TC0106 | TE015892 | Humbertus de Romanis, De dono timoris [Boyer, 2008]: 153 | LES TROMPES DE LA MORT. Un roi descend de son char pour embrasser deux pauvres
hommes. Il ne montre aucune considération envers des princes puissants qui s’en trouvent fort
offensés. Ce que lui rapporta son frère. Le roi envoie selon l’usage des sonneurs de trompe
annoncer sa mort. Le frère attend la mort en tremblant. Le roi ordonne ensuite aux jongleurs de
chanter; son frère pleure attendant la mort. Le roi le fait alors libérer lui disant que s’il
craignait le juge terrestre, à plus forte raison lui-même devait craindre le juge
céleste.
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TC0124 | TE014469 | anon., Collectio exemplorum cisterciensis [dir. Berlioz, Polo de Beaulieu, 2012]: VIII, 14 [121] | Un roi de Thrace très puissant nommé Denis proposa à un courtisan de goûter les
délices du pouvoir royal. Il lui fit préparer un pont étroit sur une fosse, un trône sur ce pont,
et une épée suspendue par un fil au-dessus de sa tête et l’invita à faire bonne chère devant une
table chargée de mets délicats.
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TC0131 | TE007996 | anon., Ci nous dit ou Composition de l'Ecriture sainte [Blangez, 1979-88]: 363, 1-4 | LE FRERE DU ROI ASSIS ENTRE QUATRE GLAIVES. 1/ Un roi fit asseoir son frère sur
un siège entouré de quatre glaives, avec un feu sous ses pieds; 2/ et il lui dit: "Sois gai!" Son
frère répondit: "Je ne puis. -Eh bien, dit le roi, c'est le même péril dans lequel je vis: 3/ La
justice de Dieu et l’enfer, mes péchés et le monde, ce sont les quatre choses qui me piquent:
C'est pourquoi je ne suis pas toujours gai". 4/ C'est pourquoi son frère n'osa plus lui reprocher
de faire triste mine.
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TC0134 | TE013016 | Jacobus de Voragine, Sermones aurei: de tempore [Clutius, 1760]: p. 203a | Un homme dit que le tyran Denys est heureux parce qu’il est riche est puissant.
Denys le fait asseoir sur un trône d’or, lui fait apporter des délices à manger, et fait
suspendre une épée au-dessus de la tête de cet homme. Ce dernier, effrayé, ne peut pas manger.
Denys lui dit : " Voilà ma vie que tu estimais heureuse !" .
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TC0137 | TE012619 | Philippe de Ferrare, Liber de introductione loquendi [Vecchio, 1998]: 134 | La vie des riches est dangereuse. Un diable fait s’asseoir Denis, qui avait
obtenu des grands, honneurs et richesses, sur un trône en or et lui fait préparer un dîner plein
de tous les délices possibles. Il lui place également une épée liée à un crin de cheval sur la
tête. Denis ne bougea pas, ayant peur de l’épée. Le diable expliqua alors à Denis que telle était
la vie du diable, vie que Denis avait crue meilleure.
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TC0138 | TE019752 | Johannes Gobii, Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991]: 609 | Le roi, les deux pénitents et les trompettes de la mort.
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TC0138 | TE019753 | Johannes Gobii, Scala coeli [éd. Polo de Beaulieu, 1991]: 610 | L’épée de Damoclès.
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TC0155 | TE016164 | Johannes Maior, Magnum Speculum Exemplorum (en russe): 38 | Un roi, dont le frère se demandait pourquoi il ne riait jamais, fit
asseoir ce dernier sur un siège branlant, une épée suspendue au-dessus de la tête et
un feu à ses pieds, afin de lui montrer qu’on ne pouvait être heureux dans de telles
conditions.
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TC0160 | TE017286 | anon., Recueil de sermons et d’exempla - Cambrai, BM, 574 [transc. A. Perard]: n° 61 | Un roi, qui a pour habitude d'organiser de belles fêtes, reste pourtant
sombre et sans joie. Il ne rit plus depuis qu'il a connaissance de la puissance de Notre
Seigneur, de sa passion et de l'état du monde. Un jour, une grande fête est organisée au
royaume. Le roi, comme à l'accoutumée, quitte la fête après le dîner pour se réfugier
dans son oratoire prier Dieu. Son frère fait alors tout le contraire du roi et encourage
les invités à danser. Il précise qu'il ne tient pas compte de son frère le roi et que ce
dernier est un papelard. Cette parole est rapportée au roi qui convoque son frère afin
de lui demander pourquoi il a tenu de tels propos. Le frère avoue au roi la vérité et
lui dit qu'il est trop jeune et trop beau pour ne pas profiter des plaisirs du monde et
pour passer son temps à vivre en pénitences. Le roi propose à son frère de lui montrer
l'état de sa vie. Il fait alors installer une chaise bien haute sur 2 étages avec
au-dessus une lance en fer très aigüe et fort taillée, puis sur les côtés de la chaise 2
épées tranchantes. Le roi fait monter son frère sur la chaise et fait allumer un grand
feu sous la chaise. Puis il fait monter un grand nombre de jeunes hommes sur une estrade
près de son frère et leur ordonne de sonner du cor. Il s'adresse alors à son frère en
lui demandant de danser et de prendre du plaisir au son du cor. Mais le frère lui répond
qu'il n'a aucune envie de danser ni de s'amuser car il est assis sur une chaise
périlleuse. Il supplie le roi de le faire descendre et ce qu'il fait immédiatement.
Alors le roi explique à son frère que maintenant il a conscience de l'état de sa vie :
chaque jour, il est en grand péril et il est assis sur la chaise de la fragilité humaine
; les épées représentent l'horreur de ses péchés qui l'accuseront et le feront mourir ;
quant à la lance, c'est le jugement de Notre Seigneur et le feu symbolise l'enfer. A ces
mots, le frère du roi décide de mener une vie sainte et de faire encore plus
d'abstinences que le roi lui-même.
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This work directed by J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu, and Pascal Collomb is licenced for use under ETALAB Open License 2.0
Ce travail réalisé sous la direction de J. Berlioz, M. A. Polo de Beaulieu et Pascal Collomb est mis à disposition sous licence ETALAB Licence Ouverte 2.0
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